Selon la préfecture un trafic de tortues a été découvert dans le sud le l’île. La personne qui pratiquait cet élevage d’espèce protégée risque un an de prison et 15 000 Euros d'amende.
C’est l’absence de jeunes tortues dans l’élevage qui aurait interpellé les agents de la Brigade de la nature océan Indien (BNOI) et de la Direction de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt (DAAF) alors qu’ils intervenaient chez un particulier du Sud de l'île. L’individu possédait un élevage de 24 tortues radiata de Madagascar et une soixantaine d’œuf en incubation. Les animaux ont été saisis et placés dans un élevage autorisé où ils seront soignées.
Un an de prison et 15 000 euros d'amende
La Daaf rappel que ces tortues sont des espèces protégées, elles doivent être soumises à autorisation administrative. Comme pour les chiens et les chats, la réglementation exige que chaque tortue soit identifiée individuellement au moyen d’une puce électronique posée par un vétérinaire. Par ailleurs, le commerce (vente, achat) de ces animaux est strictement interdit. Le contrevenant encours une peine pouvant atteindre 1 an d'emprisonnement et 15 000 € d'amende et la confiscation définitive de ses animaux.
Régularisation pour chaque particulier
Aussi, dans le communiqué, la préfecture invite chaque particulier propriétaire de tortues dont l'espèce est protégée, à se rapprocher de la DAAF dans les meilleurs délais. Il pourra faire des demandes administratives afin de réguler sa situation.
Un an de prison et 15 000 euros d'amende
La Daaf rappel que ces tortues sont des espèces protégées, elles doivent être soumises à autorisation administrative. Comme pour les chiens et les chats, la réglementation exige que chaque tortue soit identifiée individuellement au moyen d’une puce électronique posée par un vétérinaire. Par ailleurs, le commerce (vente, achat) de ces animaux est strictement interdit. Le contrevenant encours une peine pouvant atteindre 1 an d'emprisonnement et 15 000 € d'amende et la confiscation définitive de ses animaux.
Régularisation pour chaque particulier
Aussi, dans le communiqué, la préfecture invite chaque particulier propriétaire de tortues dont l'espèce est protégée, à se rapprocher de la DAAF dans les meilleurs délais. Il pourra faire des demandes administratives afin de réguler sa situation.