L'auteur présumé du viol, perpétré le 29 décembre dernier, au sein de l'usine de Vavouto a été confondu. L'homme, âgé de 30 ans et originaire de Voh, a été interpellé puis mis en examen avant d'être incarcéré au Camp-Est.
•
Trois semaines auront été nécessaires pour retrouver l’auteur présumé de l’agression d’une employée de KNS. Un viol commis en fin d’année dernière sur le site même de Vavouto. Il avait ému l’ensemble du personnel. Le procureur de la République, Alexis Bouroz, a dévoilé les conditions de l’interpellation de ce trentenaire.
C’est jeudi que cet homme de 30 ans, originaire de Voh, a été interpellé. Les constatations sur les lieux de l’agression, l’analyse des vidéos de surveillance, et celle de l’ADN qu’il a laissée, ont permis de le retrouver. Un travail mené par la section de recherches de Calédonie, aidé par la compagnie de gendarmerie de Koné.
Le mis en cause avait déjà travaillé à Vavouto comme salarié d’un sous-traitant en 2015. Mais le 29 décembre dernier, c’est dans la peau d’un voleur qu’il s’est introduit sur le site. Son objectif initial ? Dérober des fers à béton. Il s’était habillé comme un employé de l’usine pour perpétrer son méfait.
Pourquoi dès lors, s’en prendre à une employée de KNS ? L’auteur présumé de l’agression affirme avoir perdu la raison en croisant sa victime. Il a avoué le viol, mais a précisé ne pas l’avoir prémédité. Présenté au magistrat instructeur, il a été mis en examen du chef de viol et incarcéré au Camp-Est. Il risque une peine de 15 ans de réclusion criminelle.
Il était déjà connu de la justice pour une procédure de violences sur conjoint.
C’est jeudi que cet homme de 30 ans, originaire de Voh, a été interpellé. Les constatations sur les lieux de l’agression, l’analyse des vidéos de surveillance, et celle de l’ADN qu’il a laissée, ont permis de le retrouver. Un travail mené par la section de recherches de Calédonie, aidé par la compagnie de gendarmerie de Koné.
Le mis en cause avait déjà travaillé à Vavouto comme salarié d’un sous-traitant en 2015. Mais le 29 décembre dernier, c’est dans la peau d’un voleur qu’il s’est introduit sur le site. Son objectif initial ? Dérober des fers à béton. Il s’était habillé comme un employé de l’usine pour perpétrer son méfait.
Pourquoi dès lors, s’en prendre à une employée de KNS ? L’auteur présumé de l’agression affirme avoir perdu la raison en croisant sa victime. Il a avoué le viol, mais a précisé ne pas l’avoir prémédité. Présenté au magistrat instructeur, il a été mis en examen du chef de viol et incarcéré au Camp-Est. Il risque une peine de 15 ans de réclusion criminelle.
Il était déjà connu de la justice pour une procédure de violences sur conjoint.