La mesure est censée permettre aux victimes de "mettre un terme aux violences et d'obtenir de l'aide sans craindre de perdre leur emploi".
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Le Parlement néo-zélandais a voté, mercredi 25 juillet, une loi qui crée un congé rémunéré spécifique de dix jours pour les victimes de violences conjugales, une mesure destinée à les aider à échapper à leur foyer.
La députée Jan Logie, élue du Parti vert d'Aotearoa, a expliqué que ce congé devait permettre aux victimes de "mettre un terme aux violences et d'obtenir de l'aide sans craindre de perdre leur emploi". "C'est gagnant pour les victimes, gagnant pour les employeurs et gagnant pour la société", a-t-elle déclaré après le vote de la loi par 63 voix contre 57. Ce congé doit donner aux victimes qui cherchent à fuir leur foyer le temps de faire certaines démarches : assister à des audiences en justice, déménager ou de trouver de nouvelles écoles pour leurs enfants.
L'opposition conservatrice ne s'était pas rangée derrière cette réforme en expliquant que son intention était bonne, mais qu'elle risquait de contrarier la recherche d'emploi potentielle des victimes. "Les employeurs vont se mettre à scanner les candidates en se demandant si elles risquent d'être victimes de violences conjugales parce qu'au final, cela affectera leur activité", a déclaré à Newshub Mark Mitchell, du Parti national.
La députée Jan Logie, élue du Parti vert d'Aotearoa, a expliqué que ce congé devait permettre aux victimes de "mettre un terme aux violences et d'obtenir de l'aide sans craindre de perdre leur emploi". "C'est gagnant pour les victimes, gagnant pour les employeurs et gagnant pour la société", a-t-elle déclaré après le vote de la loi par 63 voix contre 57. Ce congé doit donner aux victimes qui cherchent à fuir leur foyer le temps de faire certaines démarches : assister à des audiences en justice, déménager ou de trouver de nouvelles écoles pour leurs enfants.
L'opposition conservatrice ne s'était pas rangée derrière cette réforme en expliquant que son intention était bonne, mais qu'elle risquait de contrarier la recherche d'emploi potentielle des victimes. "Les employeurs vont se mettre à scanner les candidates en se demandant si elles risquent d'être victimes de violences conjugales parce qu'au final, cela affectera leur activité", a déclaré à Newshub Mark Mitchell, du Parti national.