Donald Trump a été élu, dans la nuit du mardi au mercredi (08-09 novembre), président des États-Unis en battant sa rivale démocrate, Hillary Clinton. Le dépouillement est encore en cours dans certains états mais le milliardaire républicain est sûr de remporter les 270 grands électeurs nécessaires.
Il est 3 heures du matin, ce mercredi (09 novembre) quand Donald Trump prononce son discours de victoire. "Je serai le Président de tous les Américains", promet-il. Mais peu avant sa première apparition, à Times Square, à New York, des pro et anti-Trump s’étaient échangés quelques mots doux : "violeur, misogyne, xénophobe", estime cette jeune fille noire. C’est l’homme de la situation pour les autres. Le prochain occupant de la Maison Blanche ne laisse personne indifférent.
L’attente avait été longue pour connaître le dénouement. Pendant plusieurs heures, les Américains sont restés suspendus aux scrutins "too close to call", c'est-à-dire trop serrés pour annoncer un quelconque résultat. Mais à mesure que le dépouillement avançait, les supporters de Trump affichaient leur satisfaction et les supporters de Clinton se décomposaient. Sur leurs visages, on pouvait lire de l’inquiétude. "Ça va être difficile pour les Noirs et les Musulmans", juge un habitant afro-américain du Bronx.
Lors de ce vote, le candidat républicain a pu gagner la Floride, la Caroline du Nord, l’Ohio, autant d’états-clés que Trump devait absolument gagner. Il a même remporté le Wisconsin, dans le Midwest, qui votait démocrate à la présidentielle depuis près de 30 ans.
Qui dans ses rêves les plus fous avait pu imaginer une telle situation ? Personne, si ce n’est Donald Trump lui-même. Va entrer à la Maison Blanche un homme qui n’avait jusqu’alors jamais été élu.
Depuis un an, on disait de cette campagne électorale qu’elle était imprévisible. Ce mardi 8 novembre 2016 ne nous a finalement pas trompé.
L’attente avait été longue pour connaître le dénouement. Pendant plusieurs heures, les Américains sont restés suspendus aux scrutins "too close to call", c'est-à-dire trop serrés pour annoncer un quelconque résultat. Mais à mesure que le dépouillement avançait, les supporters de Trump affichaient leur satisfaction et les supporters de Clinton se décomposaient. Sur leurs visages, on pouvait lire de l’inquiétude. "Ça va être difficile pour les Noirs et les Musulmans", juge un habitant afro-américain du Bronx.
Un scrutin imprévisible
Lors de ce vote, le candidat républicain a pu gagner la Floride, la Caroline du Nord, l’Ohio, autant d’états-clés que Trump devait absolument gagner. Il a même remporté le Wisconsin, dans le Midwest, qui votait démocrate à la présidentielle depuis près de 30 ans.Qui dans ses rêves les plus fous avait pu imaginer une telle situation ? Personne, si ce n’est Donald Trump lui-même. Va entrer à la Maison Blanche un homme qui n’avait jusqu’alors jamais été élu.
Depuis un an, on disait de cette campagne électorale qu’elle était imprévisible. Ce mardi 8 novembre 2016 ne nous a finalement pas trompé.