Souvent comparées à Tahiti en matière de tourisme, les Maldives cachent une catastrophe écologique bien peu réjouissante. Venue pour un tournage, la réalisatrice américaine, Alison Teal, a pris en photo les montagnes de déchets.
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Au milieu de l’Océan indien, les Maldives sont un ensemble de petites îles très souvent comparées à Tahiti en raison de leur lagon
bleu turquoise. Mais pas seulement. Les Maldives sont surtout citées en exemple pour le tourisme, avec entre 600.000 et 1 million de visiteurs par an. Une formule "bungalow sur l'eau", comme à Tahiti, mais moins cher qu'à Tahiti.
Seulement depuis plusieurs années, au pied des cocotiers, se dressent des montagnes de déchets, majoritairement plastiques.
Venue pour le tournage d’une télé-réalité américaine, la réalisatrice Alison Teal a été saisie par la catastrophe écologique des Maldives. Elle a donc décidé de revenir après son tournage pour y faire un reportage photo. Les images sont saisissantes, elles révèlent le problème croissant du traitement des déchets sur cette île.
Un reportage dans lequel la réalisatrice a choisi de se mettre en scène au milieu des déchets. Le contraste est saisissant. La réalisatrice s’est aussi rendue sur « l’île poubelle » de l’archipel : Thilafushi. Depuis 1992, cette décharge à ciel ouvert est majoritairement composée de déchets apportés par le tourisme.
Puis après la phase d’observation, est venue la phase d’action : Alison Teal a donc mobilisé des bénévoles locaux pour nettoyer les plages et sensibiliser les jeunes aux problèmes du traitement des déchets.
Ici en Polynésie française, le traitement des déchets est un sujet complexe. Chaque commune gère ses propres détritus. La principale technique utilisée est l’enfouissement des déchets sous terre. Si cela fonctionne dans les îles hautes, ce système pose un problème dans les atolls où l’enfouissement est plus compliqué.
Ces problématiques sont toujours à l'ordre du jour alors que se déroule la semaine européenne de la réduction des déchets, dont le mot d’ordre est la prévention, car « le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas ! »
bleu turquoise. Mais pas seulement. Les Maldives sont surtout citées en exemple pour le tourisme, avec entre 600.000 et 1 million de visiteurs par an. Une formule "bungalow sur l'eau", comme à Tahiti, mais moins cher qu'à Tahiti.
Seulement depuis plusieurs années, au pied des cocotiers, se dressent des montagnes de déchets, majoritairement plastiques.
Venue pour le tournage d’une télé-réalité américaine, la réalisatrice Alison Teal a été saisie par la catastrophe écologique des Maldives. Elle a donc décidé de revenir après son tournage pour y faire un reportage photo. Les images sont saisissantes, elles révèlent le problème croissant du traitement des déchets sur cette île.
Un reportage dans lequel la réalisatrice a choisi de se mettre en scène au milieu des déchets. Le contraste est saisissant. La réalisatrice s’est aussi rendue sur « l’île poubelle » de l’archipel : Thilafushi. Depuis 1992, cette décharge à ciel ouvert est majoritairement composée de déchets apportés par le tourisme.
Puis après la phase d’observation, est venue la phase d’action : Alison Teal a donc mobilisé des bénévoles locaux pour nettoyer les plages et sensibiliser les jeunes aux problèmes du traitement des déchets.
« La partie la plus incroyable pour moi était de faire équipe avec les enfants là-bas, Ils sont l’avenir des Maldives et ce sont eux qui ont besoin de comprendre ce qui se passe. »
Ici en Polynésie française, le traitement des déchets est un sujet complexe. Chaque commune gère ses propres détritus. La principale technique utilisée est l’enfouissement des déchets sous terre. Si cela fonctionne dans les îles hautes, ce système pose un problème dans les atolls où l’enfouissement est plus compliqué.
Ces problématiques sont toujours à l'ordre du jour alors que se déroule la semaine européenne de la réduction des déchets, dont le mot d’ordre est la prévention, car « le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas ! »