L'eau potable dans tous les foyers polynésiens n'est pas pour demain. Il était déjà prévu que ce soit une réalité fin 2015, mais même en 2024, ce rêve ne sera probablement pas réalisé.
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Sur l'année 2015, 58% de la population de polynésie a bénéficier de l'eau potable. Seules 7 communes sur 48 offrent une eau 100% potable à leurs administrés. Papeete, Pirae, Arue, Mahina, Faa'a, Punaauia et Bora Bora sont clairement les bons élèves selon le dernier rapport du Centre d'hygiène et de salubrité publique.
Sur l'île de Moorea, seules 3 sections distribuent de l'eau potable : Temae, Nuuroa et Maharepa II.
A noter également, à Papara et à Tumaraa, où il y a de l' eau potable à 99 et 98 %.
Par contre aux Marquises, pas de distribution d'eau potable mais des fontaines publiques sont mises à la disposition des administrés.
A ce jour, à peine 11 atolls des Tuamotu possèdent une centrale de production d'eau potable opérationnelle.
Les difficultés importantes de financement des communes expliquent sans doute cela. Mais la situation est très variable d'un endroit à l'autre. Une chose semble certaine, l 'objectif fixé d'une fourniture à 100% de la population en 2024 est hors d'atteinte.
Mais avec une gestion rigoureuse, les résultats pourraient nettement s'améliorer selon la responsable du Centre d'hygiène et de salubrité publique :
Sur l'île de Moorea, seules 3 sections distribuent de l'eau potable : Temae, Nuuroa et Maharepa II.
A noter également, à Papara et à Tumaraa, où il y a de l' eau potable à 99 et 98 %.
Dans les îles éloignées, c'est délicat
Par contre aux Marquises, pas de distribution d'eau potable mais des fontaines publiques sont mises à la disposition des administrés.
A ce jour, à peine 11 atolls des Tuamotu possèdent une centrale de production d'eau potable opérationnelle.
Les difficultés importantes de financement des communes expliquent sans doute cela. Mais la situation est très variable d'un endroit à l'autre. Une chose semble certaine, l 'objectif fixé d'une fourniture à 100% de la population en 2024 est hors d'atteinte.
Mais avec une gestion rigoureuse, les résultats pourraient nettement s'améliorer selon la responsable du Centre d'hygiène et de salubrité publique :