Sur les marchés aux poissons de Cayenne, l’un officiel, l’autre informel, les prix ont un peu augmenté. Mais les vendeurs restent raisonnables sur les prix, car la clientèle est moins nombreuse en raison de la crise sanitaire.
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Avec le début de la saison des pluies, le poisson est plus difficile à pêcher au large de nos côtes. Cette période moins prolifique dure en général jusqu’au mois d’avril.
Daniel Soudine est armateur, il exploite trois bateaux et une loge au Marché d’Intérêt Régional à Cayenne.
Les prix sont restés stables sur certains poissons…d’autres ont augmenté de 50 centimes à 1 euro…par exemple les filets d’Acoupa ou de Loubine…Pour les clients, cela reste raisonnable.
Des clients qui restent plutôt fidèles à leur poissonnier
Les vendeurs de poissons subissent aussi les effet de la crise sanitaire. Cette année au Mir, le chiffre d’affaire a baissé de 30 à 60% en fonction des loges. Certaines sont fermées dans l’attente de travaux de remise aux normes, prévus en janvier.
Les vendeurs du marché informel, près du canal Laussat, n’ont pas ce problème de normes…mais eux aussi doivent composer avec le retour de la pluie.
Un armateur interrogé déplore aussi la persistance de la pêche clandestine, notamment dans l’embouchure de l’Approuague. Cela rend plus compliquées donc plus coûteuses les campagnes de pêche de la flotte guyanaise…
A noter qu’une opération de lutte contre la pêche clandestine est en cours au large de la Guyane…bilan attendu lundi…
Daniel Soudine est armateur, il exploite trois bateaux et une loge au Marché d’Intérêt Régional à Cayenne.
Les prises de poisson blanc ont baissé d'environ 30%
Les prix sont restés stables sur certains poissons…d’autres ont augmenté de 50 centimes à 1 euro…par exemple les filets d’Acoupa ou de Loubine…Pour les clients, cela reste raisonnable.
Des clients qui restent plutôt fidèles à leur poissonnier
Ça reste moins cher qu'en métropole !
Les vendeurs de poissons subissent aussi les effet de la crise sanitaire. Cette année au Mir, le chiffre d’affaire a baissé de 30 à 60% en fonction des loges. Certaines sont fermées dans l’attente de travaux de remise aux normes, prévus en janvier.
Les vendeurs du marché informel, près du canal Laussat, n’ont pas ce problème de normes…mais eux aussi doivent composer avec le retour de la pluie.
J'ai du augmenter un petit peu, à peine d'1€ en moyenne. Car sinon... on gagne rien du tout.
Un armateur interrogé déplore aussi la persistance de la pêche clandestine, notamment dans l’embouchure de l’Approuague. Cela rend plus compliquées donc plus coûteuses les campagnes de pêche de la flotte guyanaise…
A noter qu’une opération de lutte contre la pêche clandestine est en cours au large de la Guyane…bilan attendu lundi…