Depuis lundi, dix sept écoles maternelles et primaires de la ville de Baie-Mahault sont fermées. À l'origine, la reprise de la grève de l'UTC-UGTG.
Plus de quatre mille élèves n'ont pas cours depuis cinq jours à Baie-Mahault. Les dix sept écoles de la ville sont restées portes closes. Elles ont été vandalisées. De l'huile moteur a été déversée sur les grilles de certains établissements scolaires, parfois les murs ont été aspergés, du ciment a été retrouvé au pied des portails, de la colle dans les serrures.
Ce matin un nettoyage était prévu dans les écoles de Convenance et La Jaille mais, selon la municiaplité, l'entreprise n'a pu faire son travail à cause d'un sit-in.
Conséquence, les parents d'élèves se retrouvent désarmés. Tous les jours, c'est le casse-tête. Comment faire garder les enfants ?
Depuis lundi, le syndicat UTC-UGTG a remis ses revendications sur la table. le 11 Octobre dernier, un protocole d'accord a été signé avec la municiplaité de Baie-Mahault. les grévistes réclament la revalorisation du régime indemnitaire.
Les négociations doivent normalement reprendre ce soir.
Ce matin un nettoyage était prévu dans les écoles de Convenance et La Jaille mais, selon la municiaplité, l'entreprise n'a pu faire son travail à cause d'un sit-in.
Conséquence, les parents d'élèves se retrouvent désarmés. Tous les jours, c'est le casse-tête. Comment faire garder les enfants ?
Chaque parent a son plan B
Poser des jours, avoir recours aux grands-parents ou la solidarité entre parents joue. Ces derniers ont l'intention d'adresser un courrier au maire, au préfet, au Conseil départemental et à la Région pour demander une issue à la grève de l'UTC-UGTG. Ce soir ils doivent se rassembler sur la place de la mairie pour décider des actions à mener.Les parents demandent la fin du conflit
Depuis lundi, le syndicat UTC-UGTG a remis ses revendications sur la table. le 11 Octobre dernier, un protocole d'accord a été signé avec la municiplaité de Baie-Mahault. les grévistes réclament la revalorisation du régime indemnitaire.
Les négociations doivent normalement reprendre ce soir.
Hélène Polifonte, le maire condamne fermements ces actes, "les écoles sont des lieux de savoir au service de l'Avenir de nos enfants".