Ce mardi 21 mars, une tension extrême régnait à Kourou. Les différents collectifs ont tenté de pénétrer dans l'enceinte de la base spatiale, afin d’obtenir un entretien avec le directeur du CSG. Ils ont été aspergés ainsi que des élus de la ville par du gaz lacrymogène.
Ce mardi 21 mars 2017, différents collectifs manifestaient au rond-point Carapa de Kourou pour bloquer le lancement de la fusée Ariane prévu pour le même jour.
Les manifestants espéraient une entrevue avec le directeur du CSG, ils ont commencé à se diriger vers le centre spatial. Ils ont été bloqués par les forces de l’ordre les dispersant par l’usage de gaz lacrymogène. Des élus présents ont été gazés à bout portant. Cette scène a augmenté les tensions auprès des grévistes et collectifs présents. Ils dénoncent une sécurité disproportionnée à l'entrée de la base q'ils ne retrouvent pas dans la résolution des problèmes de délinquance pour le reste du territoire.
Une des élus présente, Françoise Frédock explique les intentions de ses collègues désirant trouver un accord avec les manifestants. Elle déplore l’usage de gaz lacrymogène sur les élus.
Le barrage à l'entrée de Kourou avait connu un autre événement sous tension. Environ une heure avant le conflit avec les forces de l’ordre, une voiture avait forcé le barrage du rond-point Café. L’événement avait provoqué la fermeture totale du barrage qui était au préalable filtrant.
Malgré les blocages et les différents ralentissements crées sur la circulation, la matinée du mardi 21 mars restera marquée par l’altercation entre les grévistes, les différents collectifs et les élus avec les forces de l’ordre.
Le reportage de Jean Gilles Assard
Les manifestants espéraient une entrevue avec le directeur du CSG, ils ont commencé à se diriger vers le centre spatial. Ils ont été bloqués par les forces de l’ordre les dispersant par l’usage de gaz lacrymogène. Des élus présents ont été gazés à bout portant. Cette scène a augmenté les tensions auprès des grévistes et collectifs présents. Ils dénoncent une sécurité disproportionnée à l'entrée de la base q'ils ne retrouvent pas dans la résolution des problèmes de délinquance pour le reste du territoire.
Une des élus présente, Françoise Frédock explique les intentions de ses collègues désirant trouver un accord avec les manifestants. Elle déplore l’usage de gaz lacrymogène sur les élus.
Le barrage à l'entrée de Kourou avait connu un autre événement sous tension. Environ une heure avant le conflit avec les forces de l’ordre, une voiture avait forcé le barrage du rond-point Café. L’événement avait provoqué la fermeture totale du barrage qui était au préalable filtrant.
Malgré les blocages et les différents ralentissements crées sur la circulation, la matinée du mardi 21 mars restera marquée par l’altercation entre les grévistes, les différents collectifs et les élus avec les forces de l’ordre.
Le reportage de Jean Gilles Assard