Trois autres personnes ont été entendues jeudi (14 janvier) dans les locaux du SRPJ, au Lamentin, dans le cadre de l'enquête sur les détournements de fonds présumés au Ceregmia.
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Ce sont d’anciens hauts cadres de l’administration : Préfecture ou direction du travail, inconnus du grand public qui sont pourtant convoqués jeudi matin (14 janvier) au SRPJ du Lamentin. C’est le cas d'un ancien directeur adjoint du travail en charge du FSE, le Fonds Social Européen. Accompagné de son avocate il a probablement dû expliquer pourquoi alors que la cour des comptes avait déjà alerté à plusieurs reprises sur les dysfonctionnements du Ceregmia, le laboratoire a tout même été nommé réfèrent du Fond Social Européen en 2014 ?
Autre personne à franchir la porte du SRPJ, l’ancienne déléguée régionale à la recherche et la technologie auprès de la Préfecture. Le rapport de l’inspection générale de l’éducation supérieure avait relevé ses liens avec le laboratoire. Les deux fonctionnaires, placés en garde à vue à leur arrivée, ont quitté les locaux du SRPJ dans l’après-midi sans mise en examen.
Autre personne à franchir la porte du SRPJ, l’ancienne déléguée régionale à la recherche et la technologie auprès de la Préfecture. Le rapport de l’inspection générale de l’éducation supérieure avait relevé ses liens avec le laboratoire. Les deux fonctionnaires, placés en garde à vue à leur arrivée, ont quitté les locaux du SRPJ dans l’après-midi sans mise en examen.
Des fonctionnaires entendus, à leur tour, dans le cadre de l'enquête sur l'escroquerie présumée à l'Université