Plus d'accouchements ni aucune activité chirurgicale n’ont lieu à la Clinique Véronique. L’établissement a des problèmes techniques qui impactent la maternité et le bloc opératoire. Mais plus grave, l'établissement a de grosses difficultés financières qui font craindre pour son avenir.
La clinique véronique a provisoirement cessé ses activités pour des raisons de pannes techniques dont-elle a avisé l'ARS. La climatisation est à l'arrêt dans les salles d'opération et des analyses en laboratoires sont en cours. Effectivement, la réouverture est soumise à la confirmation du respect des normes de la qualité de l'air.
Le deuxième aspect des difficultés rencontrées par la clinique Véronique concerne les financies de la structure. Cependant, ni le personnel ni la direction n'ont souhaité s'exprimer. L'ARS en tant qu'autorité de contrôle s'exprime sur la situation financière de cet établissement. Le directeur de l'ARS, Jacques Cartiaux : " il y a un vrai problème de créances non soldées. En gros, cet établissement a des dettes tant auprès des fournisseurs qu'auprès de la sécurité sociale (...) l'établissement peut être menacé d'un règlement judiciaire ".
Le centre de santé guyanais "Clinique Véronique" emploie actuellement 130 personnes. Le service de dialyse constitue un pôle important de la structure dont la disparition affecterait directement la capacité de prise en charge en Guyane.
Le reportage de Renaud Terrazzoni et Franck Fernades
Le deuxième aspect des difficultés rencontrées par la clinique Véronique concerne les financies de la structure. Cependant, ni le personnel ni la direction n'ont souhaité s'exprimer. L'ARS en tant qu'autorité de contrôle s'exprime sur la situation financière de cet établissement. Le directeur de l'ARS, Jacques Cartiaux : " il y a un vrai problème de créances non soldées. En gros, cet établissement a des dettes tant auprès des fournisseurs qu'auprès de la sécurité sociale (...) l'établissement peut être menacé d'un règlement judiciaire ".
Le centre de santé guyanais "Clinique Véronique" emploie actuellement 130 personnes. Le service de dialyse constitue un pôle important de la structure dont la disparition affecterait directement la capacité de prise en charge en Guyane.
Le reportage de Renaud Terrazzoni et Franck Fernades