DSP de Longoni a été accordée au mieux disant dans les règles de l’art. Mais dans cette affaire, les non-dits pèsent autant que le contenu de la DSP
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Parmi les 14 recommandations faites par la cour de comptes au département, le premier concerne le port de Longoni est stipule :
« Suivre avec attention la délégation de service public du port de Longoni, afin de mesurer et d’accompagner les retombées économiques pour Mayotte, de maintenir une vigilance
constante sur les risques et d’être en mesure de reprendre les actifs du port au bout de 15 ans dans les conditions prévues par la délégation. »
Cette recommandation sous-entend que le sort la délégation de service public est plié pour les 15 années à venir. Mayotte Chanel Gateway a donc le droit avec lui.
Mais alors, pourquoi l’entêtement des dirigeants de la SMART ?
-Il y a d’abord cette histoire d’un engagement tacite qui aurait été pris entre la patronne de MCG, madame NEL et Jean-Claude Henry qui stipulerait que la manutention allait revenir exclusivement à la société mahoraise d’acconage et remorque et transit. Sauf qu’il n’y a aucun écrit.
Et pourtant, bon nombre de conseillers généraux de l’époque, à commencer par celui de Pamandzi qui était le président du conseil général, Daniel Zaidani, la présence de JC Henry au côté de madame aurait pesé dans l’attribution de la DSP.
-Il y a aussi l’histoire de Mayotte.
La SMART est une des plus ancienne entreprise mahoraise. Salim Nahouda, secrétaire général de la CGT Ma affirme que chaque mahorais a au moins un membre de sa famille qui a travaillé de près ou de lin à la SMART. Il exagère peut-être mais il montre qu’il y a un côté affectif qui est aussi en jeu.
Et beaucoup se plaisent a dire qu’aujourd’hui, Mayotte va mieux, se développe, des petits nouveaux apparaissent pour disputer le marcher à celles qui ont essuyé les plâtres.
Tous ces paramètres pèsent surement sur les autorités, mêmes judicaires qui se montrent patientes dans cette affaire.
Sauf que depuis peu, ce sont les employés qui ont pris la relève.
« Suivre avec attention la délégation de service public du port de Longoni, afin de mesurer et d’accompagner les retombées économiques pour Mayotte, de maintenir une vigilance
constante sur les risques et d’être en mesure de reprendre les actifs du port au bout de 15 ans dans les conditions prévues par la délégation. »
Cette recommandation sous-entend que le sort la délégation de service public est plié pour les 15 années à venir. Mayotte Chanel Gateway a donc le droit avec lui.
Mais alors, pourquoi l’entêtement des dirigeants de la SMART ?
-Il y a d’abord cette histoire d’un engagement tacite qui aurait été pris entre la patronne de MCG, madame NEL et Jean-Claude Henry qui stipulerait que la manutention allait revenir exclusivement à la société mahoraise d’acconage et remorque et transit. Sauf qu’il n’y a aucun écrit.
Et pourtant, bon nombre de conseillers généraux de l’époque, à commencer par celui de Pamandzi qui était le président du conseil général, Daniel Zaidani, la présence de JC Henry au côté de madame aurait pesé dans l’attribution de la DSP.
-Il y a aussi l’histoire de Mayotte.
La SMART est une des plus ancienne entreprise mahoraise. Salim Nahouda, secrétaire général de la CGT Ma affirme que chaque mahorais a au moins un membre de sa famille qui a travaillé de près ou de lin à la SMART. Il exagère peut-être mais il montre qu’il y a un côté affectif qui est aussi en jeu.
Et beaucoup se plaisent a dire qu’aujourd’hui, Mayotte va mieux, se développe, des petits nouveaux apparaissent pour disputer le marcher à celles qui ont essuyé les plâtres.
Tous ces paramètres pèsent surement sur les autorités, mêmes judicaires qui se montrent patientes dans cette affaire.
Sauf que depuis peu, ce sont les employés qui ont pris la relève.