Le conseil exécutif de la CTM a présenté en fin de semaine dernière, le bilan des actions de la collectivité en 2017...sous fonds de dissension au sein de la majorité.
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C'est dans le hall d'entrée de la CTM à Fort-de-France que le conseil exécutif a présenté le bilan de son action en 2017, devant un parterre composé en grande partie d’agents de la collectivité. Un bilan mis en valeur en partie par des chefs de service devant une assemblée constituée de la "garde rapprochée" du président de l’exécutif Alfred Marie-Jeanne.
On note des absents de taille, notamment le conseiller territorial Jean-Philippe Nilor ou Claude Lise, le président de l'Assemblée. Des absences qui prouvent s’il en est que la fracture est bien réelle dans la majorité.
Le transport s’est-il amélioré ? Le secteur sanitaire a-t-il pris un essor ? L’aménagement du territoire répond-il enfin peu ou prou aux attentes des administrés ? Des questions légitimes qui à ce jour sont sans réponse.
Les investissements et les intentions sont réels et on ne peut le nier. Dans les perspectives prochaines, notons le projet de la réhabilitation de l'aérodrome à Basse Pointe, un projet ressorti des cartons et qui semble cette fois prendre un nouvel élan. Il y a aussi la reconstruction de la cité scolaire de Sainte Marie, celle du Lycée Schœlcher qui est déjà en cours et dont la durée des travaux s’étale sur 33 mois pour un coût avoisinant les 80 millions d’euros.
Autres projets sur la table des conseillers, le pôle universitaire de santé, la réhabilitation du site de Fonds Saint Jacques à Sainte-Marie, la réhabilitation du golf des Trois Ilets, la mise en place d’un viaduc à Fonds Lahaye à Schœlcher, tout comme la traversée du Gros Morne. Des projets d’envergure pour désengorger les axes routiers….
Au-delà de cette liste de projets, reste à améliorer les relations et la dimension humaine. Une harmonie intelligente entre les hommes qui s’avérera plus que nécessaire pour la réalisation de ces projets...puisque chacun veut oeuvrer pour le développement du territoire.
On note des absents de taille, notamment le conseiller territorial Jean-Philippe Nilor ou Claude Lise, le président de l'Assemblée. Des absences qui prouvent s’il en est que la fracture est bien réelle dans la majorité.
C’est donc devant cette majorité clairsemée qu’est égrenée l’action de la collectivité. Le président du conseil exécutif est attentif à l’énoncé des différentes réalisations. On cite alors pêle-mêle, des sommes investies : 334 millions d’euros dans le secteur social, 50 millions dans la formation et l’apprentissage, 208 millions dans l’aménagement du territoire, 112 millions dans le transport. Une litanie de chiffres qui n’a de sens que si cela impacte réellement la vie du citoyen.#Bilan2017 C’est en vidéo que le public découvre les chiffres clés en matière de Dev.Durable, Aménagement du territoire, Aide aux entreprises, Formation professionnelle, Soutien aux familles et aux publics vulnérables, Éducation, Culture & Sport, Rayonnement à l’international... pic.twitter.com/bBU2EVgsqX
— CTM (@CTM_Martinique) 22 décembre 2017
Le transport s’est-il amélioré ? Le secteur sanitaire a-t-il pris un essor ? L’aménagement du territoire répond-il enfin peu ou prou aux attentes des administrés ? Des questions légitimes qui à ce jour sont sans réponse.
Reste à améliorer les relations et la dimension humaine
Les investissements et les intentions sont réels et on ne peut le nier. Dans les perspectives prochaines, notons le projet de la réhabilitation de l'aérodrome à Basse Pointe, un projet ressorti des cartons et qui semble cette fois prendre un nouvel élan. Il y a aussi la reconstruction de la cité scolaire de Sainte Marie, celle du Lycée Schœlcher qui est déjà en cours et dont la durée des travaux s’étale sur 33 mois pour un coût avoisinant les 80 millions d’euros.
Autres projets sur la table des conseillers, le pôle universitaire de santé, la réhabilitation du site de Fonds Saint Jacques à Sainte-Marie, la réhabilitation du golf des Trois Ilets, la mise en place d’un viaduc à Fonds Lahaye à Schœlcher, tout comme la traversée du Gros Morne. Des projets d’envergure pour désengorger les axes routiers….
Au-delà de cette liste de projets, reste à améliorer les relations et la dimension humaine. Une harmonie intelligente entre les hommes qui s’avérera plus que nécessaire pour la réalisation de ces projets...puisque chacun veut oeuvrer pour le développement du territoire.