C’est un gros procès contre des trafiquants de drogue qui s’est ouvert à Pointe-à-Pitre : 21 personnes sont impliquées dans ce gigantesque trafic entre la France et le Venezuela via la Guadeloupe.
Des Guadeloupéens, accusés
Essentiellement des Guadeloupéens, les prévenus se succèdent à la barre, tentant d’expliquer leur participation au trafic de 60 kilos de cocaïne et de résine de cannabis entre juillet 2012 et mars 2013.
De la drogue sur eux
Les 21 prévenus sont accusés de détention, transport, vente, acquisition de cocaïne et de cannabis, elles mettent en cause des proches de dealers, des « petites amies », qui affirment qu’elles n’avaient pas le choix. Les « mûles » passaient la drogue et l’argent par des moyens différents, par exemple avec de la cocaïne scotchée sur l’abdomen ou des liasses de billets dans les sous-vêtements.
Le "Blue Night"
Un agent de sécurité de la police nationale à l’aéroport Pôle Caraïbes est impliqué. Cette femme est soupçonnée d’avoir activement participé au trafic. Le gérant d’une boîte de nuit, le « Blue Night » est aussi impliqué dans cette affaire.
2 dominicais en fuite
Reste aux autorités à trouver 2 dominicais, également impliqués dans cette sombre affaire. Les 2 hommes, introuvables pour le moment, sont toujours en fuite. Ecoutez le résumé de l'affaire et l'analyse de Peggy Robert
procès des 21