Grève dans l'éducation nationale mardi prochain. Au nombre des revendications, les conditions de travail, l'emploi, les salaires et la formation. Ce matin, le syndicat organisait une conférence de presse.
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Côté salaire au delà du gel du point d’indice depuis 2010, et au moins jusqu’en 2017, qui constitue une diminution du pouvoir d’achat, les syndicats d’enseignants dénoncent cette année, une baisse salariale.
Elle serait la conséquence de la "proratisation" du paiement des allocations familiales.
Les conditions de travail seront aussi au cœur des revendications des professeurs qui seront mobilisés mardi prochain. Conditions qui se détériorent selon eux, tant sur la plan matériel qu’humain.
la FSU parle pour la rentrée 2015 /2016 de 29 suppressions de postes dans le 1er degré et de 34 dans le second ce qui correspond peu ou prou, selon l’organisation, à un coup de rabot de quasiment 10% des effectif globaux alors que dans le même temps le nombre d’élèves ne baissent que de 5%.
A cela s'ajoutent les rythmes scolaires et la mise en oeuvre de la nouvelle politique d'Éducation Prioritaire pointée du doigt par les syndicats avec seulement 12 établissements placés en éducation prioritaire sur les Antilles. Les syndicats descendront donc dans la rue le 3 février prochain avec la ferme intention de faire plier le gouvernement sur ces questions la.
Elle serait la conséquence de la "proratisation" du paiement des allocations familiales.
Les conditions de travail seront aussi au cœur des revendications des professeurs qui seront mobilisés mardi prochain. Conditions qui se détériorent selon eux, tant sur la plan matériel qu’humain.
la FSU parle pour la rentrée 2015 /2016 de 29 suppressions de postes dans le 1er degré et de 34 dans le second ce qui correspond peu ou prou, selon l’organisation, à un coup de rabot de quasiment 10% des effectif globaux alors que dans le même temps le nombre d’élèves ne baissent que de 5%.
A cela s'ajoutent les rythmes scolaires et la mise en oeuvre de la nouvelle politique d'Éducation Prioritaire pointée du doigt par les syndicats avec seulement 12 établissements placés en éducation prioritaire sur les Antilles. Les syndicats descendront donc dans la rue le 3 février prochain avec la ferme intention de faire plier le gouvernement sur ces questions la.