Il est de bon ton de formuler des vœux, en plus de bonnes résolutions, lorsque débute une nouvelle année.
Après 12 mois marqués par la violence, l’insécurité, l’inflation, ainsi que des problèmes sanitaires et environnementaux, les Guadeloupéens auxquels nous avons tendu nos micros aspirent à une période plus sereine, emprunte de solidarité, avec la santé en prime. Vous êtes nombreux aussi à défendre l’idée d’un meilleur accompagnement des jeunes, afin qu’ils s’insèrent, aient des perspectives et prennent les rênes du pays comme il se doit.
À voir, quelques avis sur la question. Les propos sont recueillis par Lydia Quérin et Bruno Pansiot-Villon :
Les jeunes aussi veulent du changement. Plusieurs d’entre eux, comme leurs aînés, déplorent l’insécurité grandissante, dans l’archipel. Ils sont également témoins de la pauvreté qui gangrène le territoire. Pour autant, beaucoup entendent se retrousser les manches, afin de réaliser leurs projets. Ils l'ont dit à Jean-Marie Mavounzy.
Peu d’enthousiasme, donc dans l’évocation de l’année 2023.
Mais si le constat de la dégradation de la situation sécuritaire et sociale est partagé par le plus grand nombre, il est possible d’espérer un sursaut de la population. La volonté commune d’un changement positif peut être le moteur des Guadeloupéens, en 2024.