8 personnes ont été mises en examen dans le dossier Dimitri Errin. Un jeune moulien séquestré et assassiné en mars 2016 au Moule. Il avait été torturé puis tué d’une balle dans la tête. Après deux ans d’enquête, la section de recherche de la gendarmerie nationale a fait un grand pas.
•
Les militaires de la section de recherche de la gendarmerie nationale de Pointe-à-Pitre n’ont pas lâché l’affaire depuis plus de deux ans. 8 personnes ont été interpellées par vagues successives, ici dans l’archipel, mais aussi dans l’Hexagone dans l'enquête sur le meurtre de Dimitri Errin.
Le jeune homme de 26 ans avait été tué fin mars 2016. Son corps, retrouvé par des passants sur un terrain agricole au lieu dit Bellemare toujours au Moule, non loin de son domicile.
Une histoire glauque. Deux jours plus tôt, c’est la compagne de Dimitri Errin qui avait donné l’alerte. Son compagnon n’avait plus donné signe de vie après avoir été agressé chez lui par des individus.
Après un départ d’enquête difficile, les gendarmes ont remonté au fur et à mesure l’écheveau de cette affaire sordide.
6 des 8 personnes interpellées ont été placées en détention provisoire par un juge des libertés et de la détention. Les deux autres ont été placées sous contrôle judiciaire. Elles sont, toutes, mises en examen pour des faits graves : enlèvement, séquestration et assassinat.
Ils connaissaient la victime
8 individus qui connaissaient bien la victime, Dimitri Errin. Ils sont soupçonnés d’être les auteurs présumés, à des degrés divers de cet homicide. Les causes réelles ne sont toujours connues.Le jeune homme de 26 ans avait été tué fin mars 2016. Son corps, retrouvé par des passants sur un terrain agricole au lieu dit Bellemare toujours au Moule, non loin de son domicile.
Une histoire glauque. Deux jours plus tôt, c’est la compagne de Dimitri Errin qui avait donné l’alerte. Son compagnon n’avait plus donné signe de vie après avoir été agressé chez lui par des individus.
Ses derniers instants insoutenables
Il aura vécu un calvaire. Selon les éléments du dossier, il avait été enlevé, séquestré, torturé puis, enfin, abattu d’un tir d’arme à feu dans la tête sur ce terrain vague.Après un départ d’enquête difficile, les gendarmes ont remonté au fur et à mesure l’écheveau de cette affaire sordide.
6 des 8 personnes interpellées ont été placées en détention provisoire par un juge des libertés et de la détention. Les deux autres ont été placées sous contrôle judiciaire. Elles sont, toutes, mises en examen pour des faits graves : enlèvement, séquestration et assassinat.