20 ans que le projet est dans les tuyaux et il pourrait finalement arriver dans nos bouteilles. Le conseil municipal du Lamentin a relancé un vieux projet. Une usine d’embouteillage sur le site de Ravine Chaude...
•
En fin de semaine dernière, le conseil municipal du Lamentin, à l’unanimité, a donné son feu vert au dossier de l’implantation d’une usine d’embouteillage sur le site de Ravine Chaude. A terme, on pourrait donc retrouver sur nos tables une nouvelle eau guadeloupéenne minéralisée. Si toutefois, cette fois, le projet aboutit. Car l’idée est dans l’air depuis déjà près de 20 ans.
Dès le début des années 2 000, la municipalité du Lamentin, alors dirigée par José Toribio, avait commencé à réfléchir à la possibilité d’implanter une usine, aux abords de Ravine Chaude, pour mettre en bouteille cette eau à la qualité et aux propriétés reconnues. Des études avaient été menées sur la faisabilité et l’intérêt d’un tel projet, études dont les résultats étaient plutôt encourageants. Mais finalement, on en était resté là. Rebelote en 2013. Là aussi, le conseil municipal est saisi, des contacts sont noués, en particulier avec Capès, très intéressé par ce débouché commercial potentiel. Mais là encore, l’aventure s’arrête avant d’avoir vraiment démarré.
Jeudi dernier, Jocelyn Sapotille a donc relancé ce projet : l’implantation d’une usine d’embouteillage, pour la mise en bouteille de l’eau de Ravine-Chaude. Plus globalement, c’est un programme d’ensemble qui doit être développé. Un programme qui porte à la fois sur l’espace aqua-ludique inauguré il y a bientôt 1 an, avec de nouvelles prestations à venir, et donc sur des projets de partenariat avec des structures privées, pour la commercialisation de l’eau
Dès le début des années 2 000, la municipalité du Lamentin, alors dirigée par José Toribio, avait commencé à réfléchir à la possibilité d’implanter une usine, aux abords de Ravine Chaude, pour mettre en bouteille cette eau à la qualité et aux propriétés reconnues. Des études avaient été menées sur la faisabilité et l’intérêt d’un tel projet, études dont les résultats étaient plutôt encourageants. Mais finalement, on en était resté là. Rebelote en 2013. Là aussi, le conseil municipal est saisi, des contacts sont noués, en particulier avec Capès, très intéressé par ce débouché commercial potentiel. Mais là encore, l’aventure s’arrête avant d’avoir vraiment démarré.
Jeudi dernier, Jocelyn Sapotille a donc relancé ce projet : l’implantation d’une usine d’embouteillage, pour la mise en bouteille de l’eau de Ravine-Chaude. Plus globalement, c’est un programme d’ensemble qui doit être développé. Un programme qui porte à la fois sur l’espace aqua-ludique inauguré il y a bientôt 1 an, avec de nouvelles prestations à venir, et donc sur des projets de partenariat avec des structures privées, pour la commercialisation de l’eau