Au complexe Cinéstar de Dothémare, ce n'est pas tant la fréquentation qui a évolué que la manière d'y venir. Depuis vendredi, les uns et les autres se sentent plus libre de garder ou d'enlever le masque.
Une impression de liberté pour certains, une nécessité sanitaire pour les autres, une décision préfectorale ne suffit pas pour abolir le port du masque.
Gladys et Anne-Claire y ont amené leurs enfants. Et chacune a sa propre analyse pour ce qui est du masque.
A quelques kilomètres de là, le MACTe vit lui aussi une petite révolution. Il accueille désormais un public composite, les uns avec le masque, les autres sans.
Pour l'établissement, cette décision est une bouffée d'oxygène comme le sera encore plus l'abandon du passe-sanitaire.
En réalité, dans presque tous les cas, chacun garde toujours un masque à portée de main en se réservant le droit de le remettre, s'il y a affluence dans ces lieux qui reçoivent du public .