C'est devenu une tradition : à chaque veille de rentrée, les exécutifs des collectivités veillent à faire le point sur les travaux qu'elles ont engagé, selon leur niveau de responsabilité, pour améliorer les conditions d'accueil des différentes communautés scolaires
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Rien n'aura été laissé au hasard, ou en tout cas, rien ne doit l'être. Pour chacune des grandes collectivités, les veilles de rentrée sont l'occasion de faire le bilan des travaux qu'elles ont lancés pour réhabiliter, reconstruire, améliorer ou même inaugurer les établissements qui s'apprêtent à accueillir les différentes communautés scolaires.
Pour la Région, le passage difficile des deux anciens lycées de la Guadeloupe, Gerville Réache à Basse-Terre et Carnot à Pointe-à-Pître, permet de répondre aux attentes exprimées mais aussi aux différentes urgences constatées.
Et ce bon fonctionnement des établissements scolaires, la collectivité régionale continue de s'en assurer Ary Chalus, le président de région s'est lui-même rendu au lycée des Métiers de l'hôtellerie et du tourisme au Gosier. la filière touristique est en plein boom en Guadeloupe.
Pour sa part, la présidente du département Josette Borel-Lincertin, a procédé à une visite de terrain qui l'a conduite tout d'abord au collège Bébel à Sainte-Rose puis au collège de Kermadec à Pointe-à-Pitre. Des établissements qui rentrent dans le cadre des lourds travaux de confortement parasismique.
La collectivité a ciblé 13 établissements pour un budget de plus de 100 millions d’euros sur la période 2015-2021.
La présidente du département vise la sécurité des enfants à l’intérieur du bâtiment, mais aussi dans son environnement
Quant au collège de Kermadec, il ne pourra accueillir ses élèves qu'après la Toussaint. Pour la rentrée, ils devront encore partager le collège Carnot avec ses usagers.
Pour la Région, le passage difficile des deux anciens lycées de la Guadeloupe, Gerville Réache à Basse-Terre et Carnot à Pointe-à-Pître, permet de répondre aux attentes exprimées mais aussi aux différentes urgences constatées.
La collectivité a ciblé 13 établissements pour un budget de plus de 100 millions d’euros sur la période 2015-2021.
La présidente du département vise la sécurité des enfants à l’intérieur du bâtiment, mais aussi dans son environnement