Seuls 20 points de vente directe de produits de la mer sont désormais autorisés sur l’archipel de la Guadeloupe, selon un arrêté publié le 18 mars par la Préfecture.
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Cette mesure prise, en concertation avec le comité régional des pêches, doit permettre la poursuite de l’activité de la filière tout en respectant les mesures de confinement.
Ainsi, la vente directe de pêche fraîche est autorisée de 6 heures à 12 heures les mardi, mercredi, vendredi et samedi. "Au-delà des règles d’hygiène et de sécurité habituelles, les pêcheurs sont tenus de porter des gants et de respecter une distance de sécurité d’un mètre avec leur client", rappelle Jean-Luc Vaslin, directeur de la Mer de Guadeloupe.
Le texte en lui-même n‘a pas soulevé d’opposition au sein de la profession, qui demeure, en revanche très partagée sur la poursuite de l’activité.
Les uns entendent respecter la période de confinement. "Occupons nous de nos familles et laissons la mer se reposer", soutient Jean-Claude Yoyotte, patron à Pointe-à-Pitre.
D’autres entendent continuer à aller en mer : "Nous sommes des insulaires. Cela fait partie de notre ADN. Nous sommes là pour nourrir la population", répond Charly Vincent, président du CRPMEM.
Mais, tous s’accordent pour demander la création d’un fond de soutien abondé par l’État et par le Conseil régional.
Ainsi, la vente directe de pêche fraîche est autorisée de 6 heures à 12 heures les mardi, mercredi, vendredi et samedi. "Au-delà des règles d’hygiène et de sécurité habituelles, les pêcheurs sont tenus de porter des gants et de respecter une distance de sécurité d’un mètre avec leur client", rappelle Jean-Luc Vaslin, directeur de la Mer de Guadeloupe.
Le texte en lui-même n‘a pas soulevé d’opposition au sein de la profession, qui demeure, en revanche très partagée sur la poursuite de l’activité.
Les uns entendent respecter la période de confinement. "Occupons nous de nos familles et laissons la mer se reposer", soutient Jean-Claude Yoyotte, patron à Pointe-à-Pitre.
D’autres entendent continuer à aller en mer : "Nous sommes des insulaires. Cela fait partie de notre ADN. Nous sommes là pour nourrir la population", répond Charly Vincent, président du CRPMEM.
Mais, tous s’accordent pour demander la création d’un fond de soutien abondé par l’État et par le Conseil régional.