Depuis le début de l’année, c’est l’escalade. Huit homicides, dont 2 féminicides, au compteur. Un rythme inquiétant selon le parquet. La plupart des victimes sont des jeunes, connus des services de police ou de gendarmerie. De même que les agresseurs.
Qautre homicides commis en huit jours dans le département et ceci, durant la dernière semaine de carnaval. Au sujet de deux d’entre eux, survenus entre mardi-gras et mercredi des cendres, les investigations ont vite avancé. Les auteurs ont été appréhendés. Le 1er concerne un jeune homme de 21 ans, tué à l’arme blanche à Trois-Rivières. Son agresseur, qui a reconnu les faits, était son ami d’enfance, avec lequel il aurait eu une altercation. Mis en examen pour homicide volontaire, ce dernier a été placé en détention provisoire.
Il en est de même, pour l’auteur du coup de feu mortel, dont a été victime un jeune de 19 ans à Morne-à-L’eau. Ce dernier s’est présenté de lui-même aux gendarmes. A l’origine de ce drame, une histoire de scooter volé.
Quant aux deux autres affaires, le mystère demeure : A Anse-Bertrand tout d’abord, le ou les meurtriers présumés d’un autre jeune retrouvé mort le 20 février par des touristes sur la trace des pêcheurs, courrent toujours. Le corps de la victime présentait des impacts de balle.
A Petit-Bourg ensuite, où un cadavre avait été découvert flottant, à proximité de la mairie, avec des blessures à l’arme blanche, lundi gras, là aussi c’est l’impasse.
Il en est de même, pour l’auteur du coup de feu mortel, dont a été victime un jeune de 19 ans à Morne-à-L’eau. Ce dernier s’est présenté de lui-même aux gendarmes. A l’origine de ce drame, une histoire de scooter volé.
Quant aux deux autres affaires, le mystère demeure : A Anse-Bertrand tout d’abord, le ou les meurtriers présumés d’un autre jeune retrouvé mort le 20 février par des touristes sur la trace des pêcheurs, courrent toujours. Le corps de la victime présentait des impacts de balle.
A Petit-Bourg ensuite, où un cadavre avait été découvert flottant, à proximité de la mairie, avec des blessures à l’arme blanche, lundi gras, là aussi c’est l’impasse.