Très peu de monde ce matin sur le campus de Fouillole. Et pour cause, les cours du second semestre n’ont pas encore démarré. Des cours désormais sous la menace du variant Omicron. Le syndicat SPEG SUP demande à ce que toutes les précautions soient prises, notamment dans certains bâtiments peu ou mal ventilés.
Fréderic Gerardin porte-parole du SPEG SUP
Du côté de l’administration générale, on se veut rassurant. Aucun cluster n’a jamais été détecté sur le camp. L’essentiel des cours se fera une nouvelle fois en distanciel et des mesures particulières ont été prises pour les examens
Eustase Janky, président de l’Université des Antilles
La direction et les partenaires sociaux de l’université doivent se rencontrer demain lors d’un CHSCT. Il sera notamment question de la mise en place de détecteurs de CO2 dans certains salles ne disposant pas de moyens d’aération.