La CGTG, l'UGTG et l'UNSA ont bien l'intention d'unir leurs forces, pour garantir le respect des droits des salariés du SIAEAG, alors que la dissolution de l'établissement est annoncée. La riposte prendra forme jeudi, lors d'une assemblée générale.
Après des années de discussions et de rebondissements, la dissolution du Syndicat intercommunal d'alimentation en eau et d'assainissement de la Guadeloupe (SIAEAG) semble désormais inéluctable. Elle a été annoncée par le désormais ex-préfet de région, Philippe Gustin, le 14 juillet 2020.
Seulement voilà, cette mesure irait de pair avec le licenciement des près de 250 salariés de la structure.
Une épée de Damoclès que n'acceptent pas les syndicats. Ils exigent des garanties, notamment pour le maintien de tous les emplois et le versement des salaires, pendant la période transitoire, jusqu'à la création et le lancement des activités de la structure unique de l'eau de Guadeloupe.
Après une réunion de concertation organisée ce mardi, trois syndicats, la CGTG, l'UGTG et l'UNSA ont la ferme intention d'organiser ce qu'ils ont qualifié de "riposte".
Rendez-vous est donné, jeudi 23 juillet, à 9h00, aux agents du SIAEAG, pour dresser une feuille de route :
Seulement voilà, cette mesure irait de pair avec le licenciement des près de 250 salariés de la structure.
Une épée de Damoclès que n'acceptent pas les syndicats. Ils exigent des garanties, notamment pour le maintien de tous les emplois et le versement des salaires, pendant la période transitoire, jusqu'à la création et le lancement des activités de la structure unique de l'eau de Guadeloupe.
Après une réunion de concertation organisée ce mardi, trois syndicats, la CGTG, l'UGTG et l'UNSA ont la ferme intention d'organiser ce qu'ils ont qualifié de "riposte".
Rendez-vous est donné, jeudi 23 juillet, à 9h00, aux agents du SIAEAG, pour dresser une feuille de route :