La communauté scolaire de la petite école de la section de Sainte Marguerite manifestait ce matin dans l'enceinte de l'établissement après les actes subis la semaine dernière pour une élève de deux ans et demi. Si chacun veut comprendre, tous veulent s'assurer que cela ne se reproduira plus
•
L'affiche exprime tout ce qui s'est dit durant tout le week-end sur les réseaux sociaux. Elle résume à elle seule l'émotion, l'effroi et la colère ressentis ce matin par toute la communauté scolaire de l'école Schoelcher à Sainte Marguerite au Moule. Mais le sentiment qui domine, exprimé tant par la famille que par les autres parents d'élèves, c'est l'incompréhension. Comment une petite fille de deux ans et demi, sous surveillance des personnels de l'école, a pu être victime d'attouchements sexuels dans l'enceinte même de l'établissement ? Et visiblement, elle ne serait pas la seule.
La tante de la petite victime Une parente d'élève Présente ce matin dans l'école, le maire de la commune est venue s'informer de ce qui s'est passé. Comme le représentant du rectorat, elle a préfèré ne pas s'exprimer sur ce qui fait désormais l'objet d'une enquête.
Une cellule d'écoute a d'ailleurs été mise en place pour auditionner tant les élèves que les parents ou les personnels de l'école. Un premier pas que les parents souhaitent voir amplifié pour garantir les conditions de reprise de leurs enfants dans cet établissement.
Jimmy Castanet, représentant des parents d'élèves Une enquête de gendarmerie est ouverte. Elle doit permettre d'identifier aussi bien le coupable de cette ou ces agressions sexuelles mais aussi les différentes responsabilités qui ont permis que ces faits aient lieu dans cet établissement scolaire.
La tante de la petite victime Une parente d'élève Présente ce matin dans l'école, le maire de la commune est venue s'informer de ce qui s'est passé. Comme le représentant du rectorat, elle a préfèré ne pas s'exprimer sur ce qui fait désormais l'objet d'une enquête.
Une cellule d'écoute a d'ailleurs été mise en place pour auditionner tant les élèves que les parents ou les personnels de l'école. Un premier pas que les parents souhaitent voir amplifié pour garantir les conditions de reprise de leurs enfants dans cet établissement.
Jimmy Castanet, représentant des parents d'élèves Une enquête de gendarmerie est ouverte. Elle doit permettre d'identifier aussi bien le coupable de cette ou ces agressions sexuelles mais aussi les différentes responsabilités qui ont permis que ces faits aient lieu dans cet établissement scolaire.