Ils ont pu quitter les différents hôtels réquisitionnés par l’Etat, dans lesquels ils étaient automatiquement placés. Une période de confinement obligatoire et imposée que tous n’ont pas vécu de la même manière…
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Décontenancés, beaucoup l'avaient été en arrivant en Guadeloupe. Pour les accueillir, les personnels de la Préfecture et de la Croix-Rouge venus leur apprendre qu'entre temps, le gouvernement avait décidé de placer en quatorzaine tous les arrivants en Guadeloupe.
Quelle que soit la raison de cette arrivée, fut-elle des plus urgentes, ils avaient été logés à la même enseigne : un séjour forcé à l'hôtel pour s'assurer de leur non contamination.
Un séjour plus ou moins heureux. Certains s'y sont fait sans difficulté, profitant de fait des bons côtés de la situation, et d'autres ont eu du mal à surmonter leur affliction, les raisons de leur venue en Guadeloupe étant elles-mêmes dramatiques.
Contre mauvaise fortune, il a fallu faire bon coeur.
Et si pour certains, le feuilleton se poursuit, pour les premiers arrivés, l'heure de la "libération" a sonné ce lundi.
VOIR :
Quelle que soit la raison de cette arrivée, fut-elle des plus urgentes, ils avaient été logés à la même enseigne : un séjour forcé à l'hôtel pour s'assurer de leur non contamination.
Un séjour plus ou moins heureux. Certains s'y sont fait sans difficulté, profitant de fait des bons côtés de la situation, et d'autres ont eu du mal à surmonter leur affliction, les raisons de leur venue en Guadeloupe étant elles-mêmes dramatiques.
Contre mauvaise fortune, il a fallu faire bon coeur.
Et si pour certains, le feuilleton se poursuit, pour les premiers arrivés, l'heure de la "libération" a sonné ce lundi.
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