A compter du 5 décembre 2023, il sera possible de rallier, sans escale, l’aéroport de Bordeaux-Mérignac, au départ de Guadeloupe-Pôle Caraïbes. Cette liaison, qui avait déjà été expérimentée en 2021, sera relancée par la compagnie aérienne Corsair international, l’hiver prochain.
Le succès de la liaison Bordeaux/Pointe-à-Pitre
Il y a deux ans, ce transporteur était déjà l’unique opérateur à proposer des vols directs entre la ville du Sud-Ouest de la France hexagonale et l’archipel des petites Antilles. Fort de son succès et en l’absence de concurrence, sur ce tronçon, il a décidé de réitérer.
Ces vols seront assurés tous les mardis, que ce soit au départ de Bordeaux (du 5 décembre 2023 au 23 avril 2024), ou de Pointe-à-Pitre (du 12 décembre 2023 au 30 avril 2024). Les voyageurs qui profiteront de cette desserte seront accueillis dans des Airbus A330-300 d’une capacité de 298 à 352 passagers, avec quatre classes proposées (Affaire, premium, économie plus et économie).
Le prix d’un aller-retour devrait avoisiner les 700 euros, pour les plus bas tarifs, comprenant un bagage en soute de 23 kg.
Une liaison Nantes/Fort-de-France également
Outre cette liaison Guadeloupe/Bordeaux, la compagnie aérienne a pour ambition de renforcer la desserte des Outre-mer, notamment en développant des connexions entre les régions de l’Hexagone et nos territoires.
Autre exemple : des vols entre Nantes et Fort-de-France seront aussi proposés, tous les mardis, à compter du 12 décembre 2023, pour une durée d’un peu moins de cinq mois.
Corsair précise que ses vols longs courriers sont en connexion avec des vols régionaux de sa consœur Air Antilles. C’est ainsi que les Nantais pourront rejoindre Pointe-à-Pitre et les Bordelais, Fort-de-France.
Réduire son empreinte environnementale
En parallèle, malgré la crise, Corsair a maintenu son programme de renouvellement de sa flotte, jusqu’à 2024, dans le but de diminuer son empreinte environnementale. La compagnie, en se dotant d’Airbus A330, appareils de dernière génération plus respectueux de l’environnement, entend contribuer concrètement à la transition énergétique du secteur aérien.