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Cinq femmes ont été condamnées en comparution immédiate jeudi à des peines allant "de 3 mois avec sursis jusqu'à 6 mois de prison ferme", en Guadeloupe, pour avoir tenté de procurer de la drogue et de l'argent liquide à des détenus lors d'une visite au parloir.
Quatre femmes ont été condamnées avec sursis par le tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre: deux d'entre elles "à trois mois avec sursis et des amendes de 300 et 500 euros", les deux autres à "quatre mois avec sursis et 500 euros". Une cinquième, "en récidive", a écopé de "quatre mois de prison ferme et révocation des deux mois de sursis" auxquels elle avait été condamnée en 2013.Toutes sont des "membres de la famille ou petites amies" des détenus de la prison de Fond Sarail, à Baie-Mahault. Plus de 400 grammes de stupéfiants et "200 euros en liquide" ont été saisis mercredi au parloir du centre pénitentiaire. "22 grammes de cocaïne, 363 grammes d'herbe de cannabis, 4 grammes de résine de cannabis" : ce qui représente "des saisies significatives", selon le procureur de la République.
L'opération de contrôle, déclenchée "sur réquisition du procureur", a mobilisé une quinzaine de gendarmes et une équipe cynophile. Ce type de contrôle devrait être renouvelé "de manière relativement fréquente", selon le procureur de la République de Pointe-à-Pitre, Xavier Bonhomme.
"La prison ne doit pas être une zone de non-droit", a-t-il déclaré à l'AFP. Trois opérations de ce type ont été menées depuis "une fouille générale" au mois d'octobre, dans le centre pénitentiaire de Baie-Mahault, lors de laquelle avaient été saisis, en deux opérations distinctes, plus de 200 armes artisanales, plusieurs dizaines de tCinq femmes ont été condamnées en comparution immédiate jeudi à des peines allant "de 3 mois avec sursis jusqu'à 6 mois de prison ferme", en Guadeloupe, pour avoir tenté de procurer de la drogue et de l'argent liquide à des détenus lors d'une visite au parloirQuatre femmes ont été condamnées avec sursis par le tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre: deux d'entre elles "à trois mois avec sursis et des amendes de 300 et 500 euros", les deux autres à "quatre mois avec sursis et 500 euros". Une cinquième, "en récidive", a écopé de "quatre mois de prison ferme et révocation des deux mois de sursis" auxquels elle avait été condamnée en 2013.
Quatre femmes ont été condamnées avec sursis par le tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre: deux d'entre elles "à trois mois avec sursis et des amendes de 300 et 500 euros", les deux autres à "quatre mois avec sursis et 500 euros". Une cinquième, "en récidive", a écopé de "quatre mois de prison ferme et révocation des deux mois de sursis" auxquels elle avait été condamnée en 2013.
Toutes sont des "membres de la famille ou petites amies" des détenus de la prison de Fond Sarail, à Baie-Mahault. Plus de 400 grammes de stupéfiants et "200 euros en liquide" ont été saisis mercredi au parloir du centre pénitentiaire. "22 grammes de cocaïne, 363 grammes d'herbe de cannabis, 4 grammes de résine de cannabis" : ce qui représente "des saisies significatives", selon le procureur de la République.
L'opération de contrôle, déclenchée "sur réquisition du procureur", a mobilisé une quinzaine de gendarmes et une équipe cynophile. Ce type de contrôle devrait être renouvelé "de manière relativement fréquente", selon le procureur de la République de Pointe-à-Pitre, Xavier Bonhomme.
"La prison ne doit pas être une zone de non-droit", a-t-il déclaré à l'AFP. Trois opérations de ce type ont été menées depuis "une fouille générale" au mois d'octobre, dans le centre pénitentiaire de Baie-Mahault, lors de laquelle avaient été saisis, en deux opérations distinctes, plus de 200 armes artisanales, plusieurs dizaines de téléphones portables, de la drogue et de l'argent liquide.
Toutes sont des "membres de la famille ou petites amies" des détenus de la prison de Fond Sarail, à Baie-Mahault. Plus de 400 grammes de stupéfiants et "200 euros en liquide" ont été saisis mercredi au parloir du centre pénitentiaire. "22 grammes de cocaïne, 363 grammes d'herbe de cannabis, 4 grammes de résine de cannabis" : ce qui représente "des saisies significatives", selon le procureur de la République.
L'opération de contrôle, déclenchée "sur réquisition du procureur", a mobilisé une quinzaine de gendarmes et une équipe cynophile. Ce type de contrôle devrait être renouvelé "de manière relativement fréquente", selon le procureur de la République de Pointe-à-Pitre, Xavier Bonhomme.
"La prison ne doit pas être une zone de non-droit", a-t-il déclaré à l'AFP. Trois opérations de ce type ont été menées depuis "une fouille générale" au mois d'octobre, dans le centre pénitentiaire de Baie-Mahault, lors de laquelle avaient été saisis, en deux opérations distinctes, plus de 200 armes artisanales, plusieurs dizaines de téléphones portables, de la drogue et de l'argent liquide.