Une commémoration populaire à l'initiative du CIPN, du MIR Guadeloupe et du Mouvman Rézistans, où les 7 rythmes du Gwo Ka ont retenti sur la Place de la Victoire à Pointe-à-Pître. Commémoration plus protocolaire au Fort Delgrès à Basse-Terre en présence des élus et du Préfet
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Pour comprendre ce contexte de commémoration, il faut d'abord se souvenir de ce que l'on commémore. Plusieurs dates qui, à travers le temps, ont conféré au mois de mai en Guadeloupe le titre de "mois des commémorations"
Et ce mercredi 27 mai 2020, pour le CIPN (Comité International des Peuples Noirs), le MIR Guadeloupe (Mouvement International pour les Réparations) et le Mouvman Rézistans, il s'agissait avant tout de rassembler les Guadeloupéens en un même lieu pour faire mémoire de toutes les grands évènements de l'histoire de la Guadeloupe qui se sont déroulés au cours du mois de mai, en 1802, 1848 et 1967, afin de mettre en exergue trois motivations profondes : L'identité, la justice et les réparations.
Une histoire évoquée au son des 7 rythmes du Gwoka pour ponctuer des textes, des poèmes et des chansons en rapports avec ces évènements.
Une manifestation animée par les Groupes Kalbaska, Lakou Véranda, Masko et Gayok, soutenus par les groupes de danse Kamodjaka, Lyonn Ka, Kréol Show, les Balisiers, Koklaya et l’AJSF.
Présentes aussi pour accompagner les musiciens et les danseurs, Tricia Evy et et Marie-Line Dahomay venues chanter les héros de 1802 et les martyrs de mai 67. Enfin des poèmes ont été déclamés par Frédérique Bergina pour les ancêtres et par Massita qui prononçait les mots de Sony Rupaire sur mars 67.
La manifestation s'est terminée par une procession en direction du Boulevard des Héros, où un hommage solennel a été rendu à Ignace et à tous les combattants de la Liberté de 1802.
C'est en effet au Fort Delgrès, comme chaque annéeque les autorités politiques et administratives de l'Archipel ce sont retrouvées pour marquer par un dépot de gerbe cette commémoration de l’abolition de l’esclavage et faire mémoire de tous les esclaves morts sans avoir connu cette liberté.
Une cérémonie aussi pour rendre hommage à tous les héros de l'épopée de 1802, au nombre desquels Ignace, Massoto, Solitude.
Enfin, elle aura permis à chacun de se souvenir du sacrifice de Louis Delgrès et des combattants de la liberté un 28 mai 1802 au Matouba à Saint Claude. et honorera la mémoire des esclaves.
Et ce mercredi 27 mai 2020, pour le CIPN (Comité International des Peuples Noirs), le MIR Guadeloupe (Mouvement International pour les Réparations) et le Mouvman Rézistans, il s'agissait avant tout de rassembler les Guadeloupéens en un même lieu pour faire mémoire de toutes les grands évènements de l'histoire de la Guadeloupe qui se sont déroulés au cours du mois de mai, en 1802, 1848 et 1967, afin de mettre en exergue trois motivations profondes : L'identité, la justice et les réparations.
Une manifestation animée par les Groupes Kalbaska, Lakou Véranda, Masko et Gayok, soutenus par les groupes de danse Kamodjaka, Lyonn Ka, Kréol Show, les Balisiers, Koklaya et l’AJSF.
Présentes aussi pour accompagner les musiciens et les danseurs, Tricia Evy et et Marie-Line Dahomay venues chanter les héros de 1802 et les martyrs de mai 67. Enfin des poèmes ont été déclamés par Frédérique Bergina pour les ancêtres et par Massita qui prononçait les mots de Sony Rupaire sur mars 67.
L'hommage protocolaire au Fort Delgrès
C'est en effet au Fort Delgrès, comme chaque annéeque les autorités politiques et administratives de l'Archipel ce sont retrouvées pour marquer par un dépot de gerbe cette commémoration de l’abolition de l’esclavage et faire mémoire de tous les esclaves morts sans avoir connu cette liberté.
Une cérémonie aussi pour rendre hommage à tous les héros de l'épopée de 1802, au nombre desquels Ignace, Massoto, Solitude.
Enfin, elle aura permis à chacun de se souvenir du sacrifice de Louis Delgrès et des combattants de la liberté un 28 mai 1802 au Matouba à Saint Claude. et honorera la mémoire des esclaves.