Avec ses objectifs, le photographe Daniel Dabriou a entrepris, pendant cette période de confinement, de capter des moments particuliers sur sa pellicule.
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On peut le voir, après quelques jours de confinement, la nature reprend ses droits à bien des endroits en Guadeloupe. L’action des hommes sur elle est désormais limitée et certains lieux se révèlent dans le silence et le calme.
Déconstruction de l'aérogare du Raizet
Ce changement n’a pas échappé à l’oeil des photographes, qui pour certains ont décidés, une heure par jour, de photographier, une Guadeloupe déserte et calme.
C'est le cas de Daniel Dabriou. Le photographe a choisi de faire de son art une mémoire de ce temps à nul autre pareil qu'est cette période de confinement et de pandémie du COVID 19.
Pour retrouver tous les clichés de Daniel Dabriou, vous pouvez vous rendre sur ses réseaux et notamment sur InstagramDe lui, Daniel Dabriou dit :
Je porte un regard néo-endogène, très éloigné des stéréotypes exogènes qui nous représentent. Je me nourris des rencontres, des confrontations, des partages, qui m’ont enrichi toutes ces années passées entre études, voyages, découvertes des autres et monstration de soi.
Aujourd’hui, je regarde la société caribéenne dans laquelle je vis, de dedans et de dehors, je mixe en permanence des esthétiques différentes et un regard endogène, mon objectif étant de faire de mes photos des portails…
Ce changement n’a pas échappé à l’oeil des photographes, qui pour certains ont décidés, une heure par jour, de photographier, une Guadeloupe déserte et calme.
C'est le cas de Daniel Dabriou. Le photographe a choisi de faire de son art une mémoire de ce temps à nul autre pareil qu'est cette période de confinement et de pandémie du COVID 19.
Christelle Martial Guadeloupe La 1ère
Pour retrouver tous les clichés de Daniel Dabriou, vous pouvez vous rendre sur ses réseaux et notamment sur InstagramDe lui, Daniel Dabriou dit :
Je porte un regard néo-endogène, très éloigné des stéréotypes exogènes qui nous représentent. Je me nourris des rencontres, des confrontations, des partages, qui m’ont enrichi toutes ces années passées entre études, voyages, découvertes des autres et monstration de soi.
Aujourd’hui, je regarde la société caribéenne dans laquelle je vis, de dedans et de dehors, je mixe en permanence des esthétiques différentes et un regard endogène, mon objectif étant de faire de mes photos des portails…
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