C’est un dossier emblématique qui est appelé aujourd’hui à la barre du tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre, celui du SIAEAG. L’ancien président du syndicat intercommunal d’alimentation d’eau et d’assainissement de la Guadeloupe est poursuivi pour détournement de fonds.
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Et il ne sera pas seul dans cette salle du Palais de justice de Pointe-à-Pître. Quatre autres personnes, toutes gérantes de société de communication, comparaissent avec lui pour recel.
Il fut un temps pas si lointain, où les robinets du SIAEAG coulaient à tout va. De l’eau mais surtout de l’argent. Beaucoup d’argent. Plus d’un an après avoir été appelé une première fois à la barre du tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre, Longin Hernandez, dit Amélius, devrait enfin s’expliquer sur sa gestion du temps où il présidait le syndicat intercommunal d’alimentation d’eau et d’assainissement de la Guadeloupe.
Une gestion tout simplement somptuaire. A compter du 1er juillet 2007 et pendant les 7 ans qui ont suivi, Amélius Hernandez aurait littéralement arrosé une bonne partie de la classe politique guadeloupéenne, finançant qui leurs déplacements au Congrès des Maires, qui leurs déplacements personnels.
Il fut un temps pas si lointain, où les robinets du SIAEAG coulaient à tout va pour le plus grand profit des sociétés de communication. Rappelez-vous les fameuses journées de l’eau. Organisés en dehors de tout respect du code des marchés publics, elles étaient facturées au prix fort. Plusieurs centaines de milliers d’euros.
Les gérants de 4 sociétés sont donc cités à comparaître pour recel. Et parmi eux, des noms connus comme celui de Maguy Celigny, 6ème vice-présidente du Conseil Régional ou encore Francine Chammouggon, épouse de Max Mathiasin, député de la 3ème crirconscription de la Guadeloupe.
Il fut un temps, pas si lointain, où les robinets du SIAEAEG coulaient à flot, mais ce temps est révolu. Aujourd’hui, les usagers endurent quotidiennement coupure et tours d’eau. Des usages qui seront prséent aujourd’hui à l’audience, après s’être constitués partie civile.Dans un communiqué, le LKP, le lyannaj Kont Pwofitasyon s’étonne qu’aucun fonctionnaire d’Etat, de parlementaire, d’élu ou de représentant de multinationale gestionnaires de l’eau ne soit convoqué dans ce dossier judiciaire.
Le porte parole du LKP, Eli Domota, estime que la situation désastreuses du précieux liquide en Guadeloupe découle d’une gestion, « mafieuse » de la ressource en eau.
Le LKP constate que les engagements des élus pris en 2009 au sortir de la grande crise sociale n’ont pas été respectés par les élus et l’Etat.
Le LKP soutient d'ailleurs la démarche des associations d’usagers réparties sur le territoire qui ont déposé plainte dans ce dossier.
Il fut un temps pas si lointain, où les robinets du SIAEAG coulaient à tout va. De l’eau mais surtout de l’argent. Beaucoup d’argent. Plus d’un an après avoir été appelé une première fois à la barre du tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre, Longin Hernandez, dit Amélius, devrait enfin s’expliquer sur sa gestion du temps où il présidait le syndicat intercommunal d’alimentation d’eau et d’assainissement de la Guadeloupe.
Une gestion tout simplement somptuaire. A compter du 1er juillet 2007 et pendant les 7 ans qui ont suivi, Amélius Hernandez aurait littéralement arrosé une bonne partie de la classe politique guadeloupéenne, finançant qui leurs déplacements au Congrès des Maires, qui leurs déplacements personnels.
Il fut un temps pas si lointain, où les robinets du SIAEAG coulaient à tout va pour le plus grand profit des sociétés de communication. Rappelez-vous les fameuses journées de l’eau. Organisés en dehors de tout respect du code des marchés publics, elles étaient facturées au prix fort. Plusieurs centaines de milliers d’euros.
Les gérants de 4 sociétés sont donc cités à comparaître pour recel. Et parmi eux, des noms connus comme celui de Maguy Celigny, 6ème vice-présidente du Conseil Régional ou encore Francine Chammouggon, épouse de Max Mathiasin, député de la 3ème crirconscription de la Guadeloupe.
Il fut un temps, pas si lointain, où les robinets du SIAEAEG coulaient à flot, mais ce temps est révolu. Aujourd’hui, les usagers endurent quotidiennement coupure et tours d’eau. Des usages qui seront prséent aujourd’hui à l’audience, après s’être constitués partie civile.Dans un communiqué, le LKP, le lyannaj Kont Pwofitasyon s’étonne qu’aucun fonctionnaire d’Etat, de parlementaire, d’élu ou de représentant de multinationale gestionnaires de l’eau ne soit convoqué dans ce dossier judiciaire.
Le porte parole du LKP, Eli Domota, estime que la situation désastreuses du précieux liquide en Guadeloupe découle d’une gestion, « mafieuse » de la ressource en eau.
Le LKP constate que les engagements des élus pris en 2009 au sortir de la grande crise sociale n’ont pas été respectés par les élus et l’Etat.
Le LKP soutient d'ailleurs la démarche des associations d’usagers réparties sur le territoire qui ont déposé plainte dans ce dossier.