La Guadeloupe, la Martinique et La Réunion, destinations choisies par les touristes français pour les vacances de Noël

Plage de la Perle, Deshaies
C’est d’ores et déjà une vague annoncée… Touristique, celle-ci ! La Guadeloupe est dans le top 3 des réservations dans l’Hexagone pour les vacances de Noël…Un afflux de touristes qui suscite aussi la crainte de la fameuse troisième vague... Sanitaire...
Avec la crise sanitaire et la fermeture de nombreuses frontières ou d’activités de loisirs dans l’Hexagone, les Français regardent vers les Antilles… Ils ont aussi été explicitement invités en ce sens par le ministre des Outremer, Sébastien Lecornu…
Les moteurs de recherche de voyage ont constaté une recrudescence des réservations, avec en prime une baisse des prix pour se rendre sous nos latitudes.
Si le secteur touristique se frotte les mains, attention toutefois au risque Covid…
 

Antilles = Tarifs alléchants et mesures sanitaires plus souples 

Dans le top 3, La Réunion, la Guadeloupe et la Martinique, devant les 20 autres destinations ouvertes aux Français. Plus que jamais, les touristes ont les yeux rivés sur nos îles, pour les fêtes de fin d'année, avec de surcroît, des tarifs défiant toute concourrence : 546 euros en moyenne contre 742, l'an dernier, à la même époque. Les prix des billets d'avion vers Pointe-à-Pitre chutent de près de 30%. 20% pour la destination Martinique. Il n'y a que New-York au départ de Paris, qui affiche des tarifs encore moins chers. 
Avec les pistes de ski en berne, à la demande du gouvernement, les destinations "soleil" sont les destinations phares de ces fêtes. La baisse des prix conjuguée à des mesures sanitaires bien moins contraignantes dans notre archipel qu'outre-atlantique, avec comme seule obligation un test PCR négatif, pour s'envoler, attire des touristes en quête d'une atmosphère moins anxiogène et moins confinée. 
Tous les moteurs de recherche constatent cet engouement pour les Antilles.

Quant à savoir si les mesures sanitaires mises en place chez nous sont suffisantes pour éviter une troisième vague, avec cet afflux de population, il faudra attendre le moins de janvier pour le vérifier.