Le Groupe Local de Traitement de la Délinquance s'attaque au proxénétisme

Un soir dans les rues de Pointe-à-Pître
Lutter contre les nuisances de la prostitution en s’attaquant aux nombreux réseaux de proxénétisme… Tel est l’objectif du Groupe Local de Traitement de la Délinquance. Un traitement judiciaire afin de donner d’avantage de moyens à la police, la gendarmerie et la justice sur l’ensemble des territoires affectés

Une fois la nuit tombée les ruelles de Pointe à Pitre semblent se transformer en véritable maison close à ciel ouvert. Seules ou en petits groupes, de nombreuses femmes en provenance d’îles voisines et de pays d’Amérique centrale, vendent leur corps chaque soir.
Une activité légale certes, mais qui dérangent les riverains…

©Guadeloupe

 GLTD pour Groupe Local de Traitement de la Délinquance. Une coopération entre l’Etat, les forces de l’ordre et la justice dont les moyens seront renforcés pour lutter contre les filières d’arrivées des prostitués qui s’apparente à du trafic d’être humain.

Lutter aussi contre le proxénétisme dit hôtelier en s’attaquant aux propriétaires d’hotel de pass clandestins mais aussi, faire preuve de prévention avec les clients dans un premier temps.

©Guadeloupe

 

Hôtel de Police de Pointe-à-Pître-Abymes

Des actions fortes qui vont s’inscrire dans la continuité des missions déjà remplies par la police.

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Le groupe local de traitement de la délinquance compte donc également lutter contre le proxénétisme sur les réseaux sociaux ainsi que la prostitution masquée par des salons de beauté, de massage et autres bars restaurants.

Un matin dans les rues de Pointe-à-Pître