Le gouvernement français s’apprête à lancer un vaste plan de vaccination contre le virus du Sars Cov 2. Un plan applicable dès le premier semestre 2021. Dans un plan préconisé par plusieurs comités scientifiques, les populations d’Outre-mer seraient une des cibles de vaccination, en deuxième ligne.
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La haute autorité de santé, la HAS, a agrégé les propositions des divers comités scientifiques de France sur la Covid 19. Il y a de multiples scénarii de vaccination. Une stratégie semble être aujourd’hui privilégiée: une immunisation par cible.
Les populations d’outre-mer ne figurent pas dans les cibles immédiates et prioritaires. Elles sont « en deuxième rideau » selon l’article des Echos du 02 septembre dernier.
D’abord la catégorie exposée professionnellement. Ce sont les personnels de santé dits à risque très élevés, les enseignants ou encore les femmes et les hommes en contact direct avec le public.
La deuxième catégorie ce sont les personnes à risque du fait de leur âge ou leur état de santé. Selon la directrice de l’ARS Guadeloupe, Valérie Denux, dans un point presse, 100 000 Guadeloupéens sont concernés par ces maladies chroniques. Ce sont ces maladies comme l’obésité, les insuffisances cardiaques, rénales, respiratoires, qui provoqueraient ces fameuses comorbidités.
Et enfin troisième cible prioritaire les personnes en grande précarité.
Les populations d’Outre-mer, dans leur généralité, arriveraient après ces trois cibles, et en fonction de l’évolution des choses.
Les comités scientifiques expliquent la vaccination des 2,8 millions de personnes à cause notamment du faible nombre de lits de réanimation, dans nos régions.
Une position qui a fait bondir les réseaux sociaux en Guadeloupe ces derniers jours.
Un plan qui sera sans doute mal apprécié auprès des populations. Selon un sondage Odoxa pour Franceinfo du 12 novembre dernier, un français sur deux n’envisage pas de vaccination contre le Sars Cov 2.
Notez que le gouvernement a aussi provisionné dans le budget de l’Etat, plus d’un milliard et demi d’euros.
Les populations d’outre-mer ne figurent pas dans les cibles immédiates et prioritaires. Elles sont « en deuxième rideau » selon l’article des Echos du 02 septembre dernier.
Le gouvernement envisagerait trois cibles prioritaires.
D’abord la catégorie exposée professionnellement. Ce sont les personnels de santé dits à risque très élevés, les enseignants ou encore les femmes et les hommes en contact direct avec le public.
La deuxième catégorie ce sont les personnes à risque du fait de leur âge ou leur état de santé. Selon la directrice de l’ARS Guadeloupe, Valérie Denux, dans un point presse, 100 000 Guadeloupéens sont concernés par ces maladies chroniques. Ce sont ces maladies comme l’obésité, les insuffisances cardiaques, rénales, respiratoires, qui provoqueraient ces fameuses comorbidités.
Et enfin troisième cible prioritaire les personnes en grande précarité.
Les populations d’Outre-mer, dans leur généralité, arriveraient après ces trois cibles, et en fonction de l’évolution des choses.
Les comités scientifiques expliquent la vaccination des 2,8 millions de personnes à cause notamment du faible nombre de lits de réanimation, dans nos régions.
Une position qui a fait bondir les réseaux sociaux en Guadeloupe ces derniers jours.
Un plan qui sera sans doute mal apprécié auprès des populations. Selon un sondage Odoxa pour Franceinfo du 12 novembre dernier, un français sur deux n’envisage pas de vaccination contre le Sars Cov 2.
Notez que le gouvernement a aussi provisionné dans le budget de l’Etat, plus d’un milliard et demi d’euros.