86 000 hectolitres d’alcool pur l’année dernière. Il était de 87 000 l’année précédente et de 80 000 en 2019.
Ces deux dernières années, cette économie a néanmoins connu un net ralentissement sur le marché local. Phénomène dû essentiellement à la pandémie du covid.
En revanche, l’exportation vers l’hexagone s’est maintenue à un bon niveau de performance. 2021 a aussi marqué la fin des quotas en vigueur ces derniers temps sur la production domienne de rhum.
L’arrêté du 15 novembre 2021 portant répartition entres les départements et les distilleries du contingent d’exportation de rhum traditionnel est désormais en vigueur :
Le contingent annuel d’exportation de 144 000 HAP est ainsi réparti :
Pour les Antilles, la Martinique bénéficie d’un contingent de 53 000 HAP de rhum agricole et de 10 739 HAP de rhum de sucrerie.
En ce qui concerne la Guadeloupe :
17 308 hectolitres de rhum agricole. La part réservée au rhum traditionnel de sucrerie est fixée à 34 350, 729 HAP
Une nouvelle répartition diversement appréciée par les professionnels de la filière.
(HAP : hectolitres d’alcool pur.)
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