Les grands rendez-vous culturels victimes du coronavirus

A l’arrêt depuis l’annonce du confinement, les organisateurs d’événements et les artistes n’ont pas réellement de vision claire, quant à un retour à la normale et particulièrement à un dé-confinement probable.
Exemple, le Festival ‘’Eritaj’’ se tient habituellement les 25,26 et 27 mai, à Petit Canal.
Le festival sera bel et bien annulé mais une réflexion est menée pour le faire vivre d’une autre manière.
Laurence Maquiaba, la directrice du Festival
 
Si l’événement en lui même ne se tiendra pas en mai prochain, reste la question épineuse, du devenir des structures qui portent ces festivals. Certains, le sont par des collectivités et d’autres par des entreprises à taille humaine, investies dans la diffusion Culturelle.
C’est le cas du festival ‘’Eritaj’’  et Laurence Maquiaba, ne cache pas son inquiétude quant à la survie de ces structures.
Laurence Maquiaba, la directrice du Festival Par ailleurs, s'agissant du festival de Gwoka de Sainte Anne prévu début juillet, les organisateurs, se disent conscients que l’événement ne pourra être organisé dans s forme habituelle, pour les raisons que l’on sait. Cependant, le Conseil d’Administration dit réfléchir à d’autres formes d’expression de notre musique traditionnelle. Une nouvelle façon de penser et de fédérer les formes d’expression de notre patrimoine immatériel

Un recensement a été lancé à l'adresse des professionnels de l'événementiel, du spectacle et de la culture, tous secteurs confondus, afin de recenser les dégâts engendrés par la crise du Covid 19 dans tous ces domaines de la culture.
Pour y répondre, cliquez ici  : Recensement secteur culturel 971

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