Depuis ce matin à ses heures, Paris est devenu la Capitale Mondiale du Rhum. Elle le sera en tout cas durant trois jours. Trois jours au cours desquels les professionnels, les experts, les amateurs et le grand public seront invités à découvrir, discuter, expliquer, discourir sur le rhum dans tous ses états.
Il ne s'agira pas d'en rester au produit et à tous ses goûts, tous ses parfums, toutes ses couleurs aussi, surtout quand il se fait vieux. Au Mondial, on compte parler de toutes les innovations qui ont cours en la matière, de l'économie circulaire qui s'organise autour de sa vente, de l'intelligence artificielle qui a su s'emparer du produit, et bien sûr de tous les aspects propres à sa biologie, à son industrie, sa finance.
Les organisateurs prévoient de nombreuses conférences et des sessions interactives pour accentuer la formation autour de l'écosystème du rhum.
Un Mondial du Rhum qui se veut donc une plateforme unique où tous les acteurs du monde du Rhum, venus du monde entier, pourront se rencontrer, échanger et façonner ensemble l'avenir du rhum et de tout ce qu'il pourra connaître comme évolution.
Et les visiteurs qui viendront durant ces trois jours au Palais Brongniart ne manqueront pas de s'arrêter sur les stands où des exposants de la Guadeloupe mettront en avant le savoir-faire de l'Archipel. Et en la matière, depuis quelques années, beaucoup se sont lancés dans la fabrication de "rhums arrangés". Différents des punchs traditionnels, ils ouvrent de plus en plus la palette des goûts des rhums produits en Guadeloupe.
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