Même si certains attendront patiemment pour la manger ce dimanche, consacré par l'Eglise Catholique pour l'arrivée des rois mages à la crèche, d'autres se sont souvenus que l'Epiphanie est traditionnellement fixée au 6 janvier pour se rendre chez leur vendeurs de galettes habituels afin d'en acheter.
Et c'est donc dès ce vendredi 6 janvier qu'ils ont été confrontés à la nouvelle réalité des galettes : si elles ont toujours la même esthétique au regard, pour le porte-monnaie, les prix ont flambé.
Et même si la passion l'emporte toujours, quand il s'agit de galettes, sur la raison, certains prix sont pires qu'une fève que l'on a malencontreusement avalée.
Le prix, justement, une augmentation allant jusqu'à 2€. Ce professionnel a bien voulu nous expliquer tout le processus qui l'a conduit à revoir ses prix. Et c'est la galette tout entière qui est passée au crible pour que l'on comprenne sa valeur et son prix.
D'autres vendeurs de galettes s'y prennent autrement. Mais cette fois, c'est l'art de vendre qui l'emporte sur le reste. Chacun y trouve son compte
Nul doute qu'il sera difficile d'avoir recours au vieil adage " quand on aime on ne compte pas" quand on sait que le prix de ces galettes s'ajoutera à tous les autres coûts en constante augmentation au grand dam du porte-monnaie.
Alors paraphrasant Sully Prudhommes, beaucoup en arriveront à dire : Le pâtissier m'a dit en songe: Fais ta galette, - Je ne te nourris plus, pétris la pâte et mets la fève."