Il y a un an Maria sévissait sur la Guadeloupe et particulièrement dans le sud Basse-Terre. Maria un ouragan majeur de catégorie 5. C’était alors le 2ème ouragan de catégorie 5 après Irma à traverser l’Atlantique tropical durant cette saison
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C’est le 13 septembre que le NHC, le Centre National des ouragans basé à Miami, repère un système orageux au sud ouest du Cap Vert. A ce moment-là, les météorologues estiment qu’il y a peu de risque qu’il devienne un cyclone. Il est stable. Il évolue lentement vers l’ouest.
Mais le 16 septembre, ce système orageux se transforme en milieu d’après-midi en dépression tropicale et 3h plus tard devient une tempête tropicale. Il n’est plus qu’à 1.000 km des petites Antilles. L’alerte cyclonique est lancée. 24h plus tard, c’est un ouragan de catégorie 1. Le lendemain, lundi 18 août, Maria devient ouragan de catégorie 3 et très rapidement dans la nuit oscille de 4 à 5, soit aussi puissant qu’Hugo avec des rafales à 260 km/h. le pic est atteint au milieu de la nuit.
Il a eu le temps de ravager la Guadeloupe, la Dominique, Porto-Rico, Haïti, République Dominicaine et les îles Turks et Caïcos et même les côtes des États de la Caroline du Sud et du Nord. Selon un bilan officiel, Maria a fait 3.057 morts dont 2.975 à Porto Rico, selon le chiffre annoncé par le gouverneur de Porto-Rico fin août
Le bilan en Guadeloupe sera de 2 morts (dont une personne qui n’a pas respecté les consignes de confinement et qui a été tué par la chute d’un arbre) et de 2 disparus en mer : 80.000 personnes se sont retrouvées sans électricité. Inondations, littoral submergée, toitures arrachées. La nature a également été dévastée dans le sud Basse-Terre, aux Saintes, à Marie-Galante. 80% du littoral de la Guadeloupe a été fortement endommagé ou détruit par Maria.
L’organisation météorologique mondiale a retiré le 12 avril dernier le nom Maria de la liste des cyclones.
VOIR AUSSI :
Toutes les productions ont été impactées : la banane, détruite à 100%. Les cultures maraîchères, la canne à sucre, les arbres fruitiers, ou encore la vanille… L’apiculture fait aussi partie des secteurs les plus touchés ; l’ouragan ayant détruit plus de 30 % des ruches, et affamé les abeilles rescapées, privées de fleurs pour se nourrir. Où en est la filière apicole un an après ? Les apiculteurs se sont-ils relevés ? La pénurie de miel est-elle derrière nous ? Les réponses seront ce soir dans le magazine Focus,
Extrait.
La filière apicole en Guadeloupe un an après Maria, c’est à suivre ce soir à 18h25 dans le magazine Focus.
VOIR AUSSI : Notre Grand Format intitulé " Maria...La ravageuse"
Mais le 16 septembre, ce système orageux se transforme en milieu d’après-midi en dépression tropicale et 3h plus tard devient une tempête tropicale. Il n’est plus qu’à 1.000 km des petites Antilles. L’alerte cyclonique est lancée. 24h plus tard, c’est un ouragan de catégorie 1. Le lendemain, lundi 18 août, Maria devient ouragan de catégorie 3 et très rapidement dans la nuit oscille de 4 à 5, soit aussi puissant qu’Hugo avec des rafales à 260 km/h. le pic est atteint au milieu de la nuit.
Il a eu le temps de ravager la Guadeloupe, la Dominique, Porto-Rico, Haïti, République Dominicaine et les îles Turks et Caïcos et même les côtes des États de la Caroline du Sud et du Nord. Selon un bilan officiel, Maria a fait 3.057 morts dont 2.975 à Porto Rico, selon le chiffre annoncé par le gouverneur de Porto-Rico fin août
Le bilan en Guadeloupe sera de 2 morts (dont une personne qui n’a pas respecté les consignes de confinement et qui a été tué par la chute d’un arbre) et de 2 disparus en mer : 80.000 personnes se sont retrouvées sans électricité. Inondations, littoral submergée, toitures arrachées. La nature a également été dévastée dans le sud Basse-Terre, aux Saintes, à Marie-Galante. 80% du littoral de la Guadeloupe a été fortement endommagé ou détruit par Maria.
L’organisation météorologique mondiale a retiré le 12 avril dernier le nom Maria de la liste des cyclones.
VOIR AUSSI :
Maria a laissé derrière elle d’importants dégâts, en particulier l’agriculture de l’archipel.
Toutes les productions ont été impactées : la banane, détruite à 100%. Les cultures maraîchères, la canne à sucre, les arbres fruitiers, ou encore la vanille… L’apiculture fait aussi partie des secteurs les plus touchés ; l’ouragan ayant détruit plus de 30 % des ruches, et affamé les abeilles rescapées, privées de fleurs pour se nourrir. Où en est la filière apicole un an après ? Les apiculteurs se sont-ils relevés ? La pénurie de miel est-elle derrière nous ? Les réponses seront ce soir dans le magazine Focus,
Extrait.
Extrait FOCUS 18.09.18 18h25 Guadeloupe .1 La Radio
La filière apicole en Guadeloupe un an après Maria, c’est à suivre ce soir à 18h25 dans le magazine Focus.
VOIR AUSSI : Notre Grand Format intitulé " Maria...La ravageuse"