Les magistrats de la Chambre régionale des Comptes se sont penchés sur la gestion de la collectivité de Marie-Galante. Ils préconisent la fermeture de l'abattoir déficitaire. Une décision qui pose le problème de l'abattage à Marie-Galante et aussi de l'avenir des salariés de l'abattoir
•
Les salariés de l’abattoir de Marie-Galante sont inquiets quant à leur avenir. Ce mardi, ils ont rencontré la présidente de la Communauté des Communes de l’île, Maryse Etzol et le président du conseil d’exploitation du site, Camille Pelage. Ces derniers les ont rassurés sur la situation préoccupante de l’abattoir.
Car dans son rapport, l’avis de la Chambre Régionale des Comptes se veut sans appel demande purement et simplement la fermeture de l'abattoir.
Créée en 1992 et mise en fonction en 2002, la structure située à Grand-Bourg emploie une dizaine de personnes. Chaque semaine, une trentaine d’animaux est abattue.
Pourtant, le site, avec 500 000 euros de pertes tous les ans, a toujours été déficitaire.
Outre le mode gestion, les élus pointent également du doigt la problématique de l’abattage clandestin.
D’ici quelques jours, une mission interministérielle se rendra sur place pour évaluer la situation de l’abattoir. Ses conclusions seront connus dans trois mois. On saura alors si la structure cessera définitivement ou non, son activité.
Car dans son rapport, l’avis de la Chambre Régionale des Comptes se veut sans appel demande purement et simplement la fermeture de l'abattoir.
Créée en 1992 et mise en fonction en 2002, la structure située à Grand-Bourg emploie une dizaine de personnes. Chaque semaine, une trentaine d’animaux est abattue.
Pourtant, le site, avec 500 000 euros de pertes tous les ans, a toujours été déficitaire.
Outre le mode gestion, les élus pointent également du doigt la problématique de l’abattage clandestin.