Après la construction d'un mur, baptisé "mur de la honte", sur les réseaux sociaux, longeant la Résidence départementale, voici qu'une autre construction fait réagir sur la toile. Certains internautes dénoncent l'entrave de l'accès à la plage de la Coulée, à Saint-François.
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Un imposant mur qui cache une maison au toit rouge, à la Coulée, à la Pointe des Châteaux, à Saint-François...
Les photos de cette construction font réagir depuis quelques jours déjà, sur les réseaux sociaux.
Il y aurait même eu des échanges, assez virulents avec une propriétaire alors qu'il avait toujours existé un passage vers la plage. Des commentaires appellent à la mobilisation.
L'internaute ayant posté les photos explique que le mur arrive jusque sur la plage.
En France, il est interdit de privatiser une plage et d'en interdire tout accès. Selon la municipalité contactée, la maison est ancienne. Elle dispose de nouveaux propriétaires. Le mur litigieux existait déjà en 2008. Et la DEAL, la Direction de l'environnement, de l'aménagement et du logement n'a fait aucune remarque dessus.
Autre précision, ni l'accès au littoral, ni l'accès à la plage ne sont interdits. Il existe un sentier. L'entrée se fait quelques mètres plus loin. Il longe les habitations et donne accès à cette plage. Il s'agit d'une servitude publique selon la Mairie.
Les photos de cette construction font réagir depuis quelques jours déjà, sur les réseaux sociaux.
Les internautes appellent à la mobilisation
Selon la légende accompagnant ces clichés, ce mur d'enceinte aurait été édifié en quelques jours.Il y aurait même eu des échanges, assez virulents avec une propriétaire alors qu'il avait toujours existé un passage vers la plage. Des commentaires appellent à la mobilisation.
L'internaute ayant posté les photos explique que le mur arrive jusque sur la plage.
Le mur existait en 2008 selon la municipalité
En France, il est interdit de privatiser une plage et d'en interdire tout accès. Selon la municipalité contactée, la maison est ancienne. Elle dispose de nouveaux propriétaires. Le mur litigieux existait déjà en 2008. Et la DEAL, la Direction de l'environnement, de l'aménagement et du logement n'a fait aucune remarque dessus. Autre précision, ni l'accès au littoral, ni l'accès à la plage ne sont interdits. Il existe un sentier. L'entrée se fait quelques mètres plus loin. Il longe les habitations et donne accès à cette plage. Il s'agit d'une servitude publique selon la Mairie.