Elles l'avaient annoncé hier à l'issue d'une première matinée de mobilisation qui les avait vu se rassembler devant Milénis et se dirger ensuite vers la Cité administrative de Dothémare. C'est là où le mouvement a été reconduit ce matin, particulièrement devant l'ARS et le Rectorat
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Depuis ce matin les accès aux sièges du rectorat et de l'ARS, l’Agence Régional de Santé, sont obstrués par des encombrants. C'est le signe visible de la poursuite de la mobilisation décidée hier par les onze organisations syndicales qui avaient appelé à la grève ce mardi 14 mai pour protester contre tous les dysfonctionnements qui perdurent en Guadeloupe (Voir : Un mouvement social pour dénoncer l'asphyxie de la Guadeloupe)
Peut-être d'ailleurs parce que les militants de ces branches étaient les plus nombreux hier, le rectorat et l'ARS cristallisent ce matin les objectifs de la mobilisation. Les revendications portent en effet sur la dégradation du système de santé sans une réelle implication de l'Etat pour le redresser, et singulièrement c'est encore la situation du CHU de Pointe-à-Pître Abymes qui est mise à l'index. Elle porte aussi sur ce que les organisations syndicales estiment être une mise à mal de la fonction publique et particulièrement celle de l'éducation nationale.
Deux motifs forts qui les ont incité à maintenir le mouvement durant cette deuxième journée en franchissant un pas de plus avec le barrage des deux bâtiments précités.
Hier, plusieurs centaines de manifestants ont défilé, entre le centre commercial Milénis et cette nouvelle grande zone d’activité. Dans leurs revendications les syndicats demandent notamment :
- La reconnaissance de la Guadeloupe en situation de crise sanitaire exceptionnelle
- L’arrêt du démantèlement des services publics
- l’accès permanent, pour tous, à une eau du robinet irréprochable
Peut-être d'ailleurs parce que les militants de ces branches étaient les plus nombreux hier, le rectorat et l'ARS cristallisent ce matin les objectifs de la mobilisation. Les revendications portent en effet sur la dégradation du système de santé sans une réelle implication de l'Etat pour le redresser, et singulièrement c'est encore la situation du CHU de Pointe-à-Pître Abymes qui est mise à l'index. Elle porte aussi sur ce que les organisations syndicales estiment être une mise à mal de la fonction publique et particulièrement celle de l'éducation nationale.
Deux motifs forts qui les ont incité à maintenir le mouvement durant cette deuxième journée en franchissant un pas de plus avec le barrage des deux bâtiments précités.
Hier, plusieurs centaines de manifestants ont défilé, entre le centre commercial Milénis et cette nouvelle grande zone d’activité. Dans leurs revendications les syndicats demandent notamment :
- La reconnaissance de la Guadeloupe en situation de crise sanitaire exceptionnelle
- L’arrêt du démantèlement des services publics
- l’accès permanent, pour tous, à une eau du robinet irréprochable