A quelques jours de la conférence régionale des acteurs de lutte contre la pauvreté, en Guadeloupe, Le gouvernement a précisé les contours de plan de lutte contre la pauvreté en outremer. Il va s'agir de lutter contre cette pauvreté depuis la plus petite enfance
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Un plan qui n’a pas vraiment convaincu. 8 milliards d’euros répartis sur 4 ans trop peu pour les structures qui luttent contre ce phénomène de pauvreté bien installé en France.
En Guadeloupe, 12% des ménages vivent sous le seuil de pauvreté selon les derniers chiffres. Emmanuel Macron veut lutter contre les déterminismes. Pour lui ce n’est pas parce que l’on naît et grandit dans une famille pauvre que l’on ne doit pas avoir de chance de s’en sortir.
Un petit coup de barre à gauche pour celui qui est considéré comme le président des riches :
- Plus de places en crèche avec des incitations financières pour les structures qui prennent en charge les enfants de familles à revenu modeste ou des enfants en situation de handicap.
- L’école maternelle obligatoire dès 3 ans.
- La cantine à 1 euro…
L’exécutif veut aussi allonger l’école obligatoire jusqu’à 18 ans. Mais en Outre-mer la possibilité existe déjà avec la loi égalité réelle. Emmanuel Macron veut aussi insérer les jeunes défavorisés plus rapidement. Un revenu universel d’activité est proposé, mais les jeunes actifs ne pourront pas refuser plus de deux emplois « raisonnables » en contrepartie.
Avec cette réponse du secrétaire d’Etat, et à quelques jours de la conférence régionale des acteurs de lutte contre la pauvreté en Guadeloupe, le gouvernement tente de calmer les inquiétudes. Lors de son intervention, le chef de l’Etat n’avait, dans ce plan, pas eu un mot pour nos régions pourtant bien plus impactées par cette pauvreté.
C’est donc Dominique Théophile, le sénateur La république en marche, qui a obtenu des réponses plus concrètes sur le plan pauvreté décliné en Guadeloupe.
Le parlementaire a interpellé le gouvernement sur les mesures qui doivent être prises. Le secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la santé et des solidarités, Adrien Taquet lui a confirmé « une implication forte de l’Etat » dans la lutte contre la pauvreté en outre-mer et en Guadeloupe particulièrement. Adrien Taquet affirme qu’il y aura, notamment, une augmentation du nombre de places en crèches dans l’Archipel
En Guadeloupe, 12% des ménages vivent sous le seuil de pauvreté selon les derniers chiffres. Emmanuel Macron veut lutter contre les déterminismes. Pour lui ce n’est pas parce que l’on naît et grandit dans une famille pauvre que l’on ne doit pas avoir de chance de s’en sortir.
Un petit coup de barre à gauche pour celui qui est considéré comme le président des riches :
- Plus de places en crèche avec des incitations financières pour les structures qui prennent en charge les enfants de familles à revenu modeste ou des enfants en situation de handicap.
- L’école maternelle obligatoire dès 3 ans.
- La cantine à 1 euro…
L’exécutif veut aussi allonger l’école obligatoire jusqu’à 18 ans. Mais en Outre-mer la possibilité existe déjà avec la loi égalité réelle. Emmanuel Macron veut aussi insérer les jeunes défavorisés plus rapidement. Un revenu universel d’activité est proposé, mais les jeunes actifs ne pourront pas refuser plus de deux emplois « raisonnables » en contrepartie.
Avec cette réponse du secrétaire d’Etat, et à quelques jours de la conférence régionale des acteurs de lutte contre la pauvreté en Guadeloupe, le gouvernement tente de calmer les inquiétudes. Lors de son intervention, le chef de l’Etat n’avait, dans ce plan, pas eu un mot pour nos régions pourtant bien plus impactées par cette pauvreté.
Une implication forte pour la Guadeloupe
C’est donc Dominique Théophile, le sénateur La république en marche, qui a obtenu des réponses plus concrètes sur le plan pauvreté décliné en Guadeloupe.
Le parlementaire a interpellé le gouvernement sur les mesures qui doivent être prises. Le secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la santé et des solidarités, Adrien Taquet lui a confirmé « une implication forte de l’Etat » dans la lutte contre la pauvreté en outre-mer et en Guadeloupe particulièrement. Adrien Taquet affirme qu’il y aura, notamment, une augmentation du nombre de places en crèches dans l’Archipel