Vendredi dernier au Palais de Justice de Basse-Terre, une grande première a eu lieu. Pour la première fois dans l’histoire un dirigeant de la plantation de banane, BANAMAX, a été condamné lourdement pour avoir fait travailler clandestinement des ouvriers dans sa plantation.
Il a été reproché au géreur par le tribunal judiciaire
Le procureur de la République de Basse-Terre a déclaré que le temps de l’impunité était terminé. Des enquêtes sont en cours.
Une enquête et un combat permanent pour le syndicat CGTG pour qui quarante ans d’efforts sont récompensés.
Mais c’est surtout une décision de justice qui prend une dimension symbolique a quelques jours de l’Abolition officielle de l’Esclavage.
Des ouvriers clandestins de la banane qui travaillaient dans des conditions qui pourraient s'apparenter à de l'esclavage moderne, et qui n'auront pas de primes pour avoir travaillé pendant l’épidémie de Covid 19 à part dans quelques rares petites plantations.
- L’embauche de travailleurs non-déclarés auprès des organismes sociaux
- L’embauche de travailleurs non-déclarés sans titre de séjour
- Et un défaut de registre unique du personnel…
Le procureur de la République de Basse-Terre a déclaré que le temps de l’impunité était terminé. Des enquêtes sont en cours.
Une enquête et un combat permanent pour le syndicat CGTG pour qui quarante ans d’efforts sont récompensés.
Mais c’est surtout une décision de justice qui prend une dimension symbolique a quelques jours de l’Abolition officielle de l’Esclavage.
Des ouvriers clandestins de la banane qui travaillaient dans des conditions qui pourraient s'apparenter à de l'esclavage moderne, et qui n'auront pas de primes pour avoir travaillé pendant l’épidémie de Covid 19 à part dans quelques rares petites plantations.
Jean-Marie Nomertin, secrétaire général de la CGTG