A 11 semaines du début de la saison cyclonique du bassin Amérique du nord, les premières prévisions laissent penser que nous devrions être dans la moyenne. Seulement, certaines données climatiques poussent les prévisionnistes à qualifier cette saison d’active.
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C’est une saison cyclonique active qui s’annonce, selon les spécialistes. Les estimations font état d’une quinzaine de dépressions, et un peu moins d’une dizaine d’ouragans dont 3 majeurs.
Des modèles de prévisions climatiques à long terme tablent notamment sur une relative faiblesse des vents de cisaillement dû à l’absence d’El Nino cette année. Ces phénomènes de cisaillement constituent en quelque sorte une barrière naturelle à la progression des systèmes dépressionnaires ;
Autre élément, de nature inquiétante, c’est la température des eaux de surface. Lorsqu’elle est élevée, l’évaporation s’accroît et ses quantités de vapeur d’eau alimentent les systèmes dépressionnaires ;
Des systèmes enfin qui pourraient bien être contraints de se déplacer plein ouest. Conséquence des prévisions de fortes pressions du nord pour cette saison 2020.
En somme, les premières estimations à moyen terme sont loin d’être alarmistes mais l’influence des grandes tendances climatiques poussent à la vigilance.
Notez enfin que la liste des baptêmes 2020 est également connue. Le premier phonème nommé s’appellera Arthur.
Une quinzaine de dépressions et 8 ouragans dont 3 majeurs
Ce sont actuellement les estimations sur lesquelles 3 instituts Américains s’accordent. Une activité moyenne, qu’il convient néanmoins de relativiser. D’abord, parce que le début de la saison est encore éloigné... Un peu plus de 11 semaines... Et puis, parce que d’autres facteurs climatiques pourraient bien jouer une influence sur la période.Des modèles de prévisions climatiques à long terme tablent notamment sur une relative faiblesse des vents de cisaillement dû à l’absence d’El Nino cette année. Ces phénomènes de cisaillement constituent en quelque sorte une barrière naturelle à la progression des systèmes dépressionnaires ;
Autre élément, de nature inquiétante, c’est la température des eaux de surface. Lorsqu’elle est élevée, l’évaporation s’accroît et ses quantités de vapeur d’eau alimentent les systèmes dépressionnaires ;
Des systèmes enfin qui pourraient bien être contraints de se déplacer plein ouest. Conséquence des prévisions de fortes pressions du nord pour cette saison 2020.
En somme, les premières estimations à moyen terme sont loin d’être alarmistes mais l’influence des grandes tendances climatiques poussent à la vigilance.
Notez enfin que la liste des baptêmes 2020 est également connue. Le premier phonème nommé s’appellera Arthur.