Comment se préparer à un tremblement de terre ?
Que faire dès que l’on ressent une secousse ?
Quelles sont les règles de la construction parasismique ?
Qu’est-ce que l’échelle de Richter ?
Tout ce qu’il faut savoir pour se préparer efficacement aux éventuels évènements sismiques majeurs !
Que faire dès que l’on ressent une secousse ?
Quelles sont les règles de la construction parasismique ?
Qu’est-ce que l’échelle de Richter ?
Tout ce qu’il faut savoir pour se préparer efficacement aux éventuels évènements sismiques majeurs !
Le séisme est un phénomène imprévisible, qui peut survenir à tout moment de l’année, voire de la journée.
Puisqu’il ne peut être prévu à l’avance, se préparer à cet aléa équivaut à travailler ses réflexes et à savoir, dès maintenant, ce qu’il faut faire avant, pendant et après l’évènement.
Plus on aura individuellement et collectivement anticipé la secousse – par exemple en comprenant où se situent les dangers (objets lourds en hauteur, environnement instable, etc.) – moins il y aura de pertes humaines et matérielles.
Les autorités proposent foule d’outils pour que la population soit informée et sensibilisée sur l’importance de la préparation.
Ludovic « Ludo » TAFNA a participé à une vidéo-tutoriel, à l’initiative de DEAL Guadeloupe. Le ton est humoristique, mais le message reste de la plus haute importance.
Un Document à consulter sur le BLOG DES EXPERTS de « Alerte Guadeloupe ».
(En savoir plus)
Cette autre vidéo, réalisée par Sikana*, prête moins à sourire, mais les conseils qui s'y trouvent sont tout aussi précieux !
Autre source d’information, quant à la conduite à tenir en cas de séisme : le site gouvernementale « RISQUES » (https://www.gouvernement.fr/risques), qui propose ce document :
Qui dit réflexe, dit préparation ! Il appartient à chaque Guadeloupéen de se protéger des séismes.
Pour réfléchir, en amont, à ce qu’il sera bon de faire et de ne pas faire, le moment venu, mais aussi après le tremblement de terre, un « Plan familial de mise en sûreté » doit être établi collectivement. Chaque occupant du foyer, adultes et enfants, doit y contribuer ; ainsi commence la sensibilisation et la prise de conscience du risque.
Il s’agit de s’informer sur le risque sismique, d’adapter son lieu de vie et de savoir comment se protéger et réagir.
Une telle une feuille de route peut être déclinée au sein des entreprises.
« Face au risque sismique, organisons-nous ! », nous intiment la préfecture de la Guadeloupe, le BRMG, l’OVSG-IPGP, le Rectorat de la Guadeloupe, la Croix Rouge française et le SDIS, dans un dépliant très complet.
Document à télécharger (qui comprend un guide pour constituer son "kit de survie") :
Des informations résumées dans cet autre document, au format plus réduit, mais aussi très explicite, édité par le Gouvernement (https://www.gouvernement.fr/risques) :
Bien entendu, la qualité des constructions compte, pour que la sécurité des occupants soit renforcée.
Le Conseils d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement (CAUE) de la Guadeloupe, l’agence départementale d’information sur le logement (ADIL) 971, le Conseil régional de l'ordre des architectes de Guadeloupe (CROAG), l’Association des maires de Guadeloupe (AMG) et la Direction de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DEAL) Guadeloupe proposent « 6 recommandations pour une construction parasismique » :
Document à télécharger :
La force d’un séisme est évaluée grâce à l’échelle de Richter, du nom du géologue Américain, Charles Francis RICHTER, à l’origine de cette unité de mesure.
On parle alors de magnitude, c’est-à-dire de l’énergie libérée par le séisme, sous forme d’ondes.
L’échelle de Richter n’a pas de limite ; la magnitude des plus violents séismes connus à ce jour ne dépasse pas 9,5.
A partir d’une magnitude 5,5 un séisme, dont le foyer est peu profond, peut causer des dégâts notables aux constructions.
Quelles différences entre le « foyer » et l’« épicentre » d’un séisme ? Savez-vous distinguer la magnitude de l’intensité d’un phénomène sismique ? Voici un peu de vocabulaire, pour s’y retrouver dans le monde impitoyable des tremblements de terre…
(En savoir plus)DEAL : la Direction de l’environnement, de l’aménagement et du logement
BRGM : Bureau de recherches géologiques et minières
OVSG-IPGP : Observatoire volcanologique et sismologique de la Guadeloupe – Institut de physique du globe de Paris
SDIS : Service départemental d’incendie et de secours
*Créée en 2014, Sikana est une ONG qui a pour ambition d’aider chacun à améliorer son quotidien grâce à la transmission gratuite de savoir-faire, dans une multitude de disciplines, dont les risques naturels. www.sikana.tv
Puisqu’il ne peut être prévu à l’avance, se préparer à cet aléa équivaut à travailler ses réflexes et à savoir, dès maintenant, ce qu’il faut faire avant, pendant et après l’évènement.
Plus on aura individuellement et collectivement anticipé la secousse – par exemple en comprenant où se situent les dangers (objets lourds en hauteur, environnement instable, etc.) – moins il y aura de pertes humaines et matérielles.
Les autorités proposent foule d’outils pour que la population soit informée et sensibilisée sur l’importance de la préparation.
Les bons réflexes
Pour commencer, pourquoi ne pas se moquer des pratiques que l’on pourrait avoir… et qui se révèlent dangereuses ?Ludovic « Ludo » TAFNA a participé à une vidéo-tutoriel, à l’initiative de DEAL Guadeloupe. Le ton est humoristique, mais le message reste de la plus haute importance.
Un Document à consulter sur le BLOG DES EXPERTS de « Alerte Guadeloupe ».
(En savoir plus)
Cette autre vidéo, réalisée par Sikana*, prête moins à sourire, mais les conseils qui s'y trouvent sont tout aussi précieux !
Autre source d’information, quant à la conduite à tenir en cas de séisme : le site gouvernementale « RISQUES » (https://www.gouvernement.fr/risques), qui propose ce document :
Se préparer
Qui dit réflexe, dit préparation ! Il appartient à chaque Guadeloupéen de se protéger des séismes.Pour réfléchir, en amont, à ce qu’il sera bon de faire et de ne pas faire, le moment venu, mais aussi après le tremblement de terre, un « Plan familial de mise en sûreté » doit être établi collectivement. Chaque occupant du foyer, adultes et enfants, doit y contribuer ; ainsi commence la sensibilisation et la prise de conscience du risque.
Il s’agit de s’informer sur le risque sismique, d’adapter son lieu de vie et de savoir comment se protéger et réagir.
Une telle une feuille de route peut être déclinée au sein des entreprises.
« Face au risque sismique, organisons-nous ! », nous intiment la préfecture de la Guadeloupe, le BRMG, l’OVSG-IPGP, le Rectorat de la Guadeloupe, la Croix Rouge française et le SDIS, dans un dépliant très complet.
Document à télécharger (qui comprend un guide pour constituer son "kit de survie") :
Des informations résumées dans cet autre document, au format plus réduit, mais aussi très explicite, édité par le Gouvernement (https://www.gouvernement.fr/risques) :
Des constructions adaptées
Bien entendu, la qualité des constructions compte, pour que la sécurité des occupants soit renforcée.Le Conseils d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement (CAUE) de la Guadeloupe, l’agence départementale d’information sur le logement (ADIL) 971, le Conseil régional de l'ordre des architectes de Guadeloupe (CROAG), l’Association des maires de Guadeloupe (AMG) et la Direction de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DEAL) Guadeloupe proposent « 6 recommandations pour une construction parasismique » :
Document à télécharger :
6 recommandations construction parasismique
L’échelle de Richter
La force d’un séisme est évaluée grâce à l’échelle de Richter, du nom du géologue Américain, Charles Francis RICHTER, à l’origine de cette unité de mesure.
On parle alors de magnitude, c’est-à-dire de l’énergie libérée par le séisme, sous forme d’ondes.
L’échelle de Richter n’a pas de limite ; la magnitude des plus violents séismes connus à ce jour ne dépasse pas 9,5.
A partir d’une magnitude 5,5 un séisme, dont le foyer est peu profond, peut causer des dégâts notables aux constructions.
Ce qui carastérise un séisme
Quelles différences entre le « foyer » et l’« épicentre » d’un séisme ? Savez-vous distinguer la magnitude de l’intensité d’un phénomène sismique ? Voici un peu de vocabulaire, pour s’y retrouver dans le monde impitoyable des tremblements de terre…
(En savoir plus)DEAL : la Direction de l’environnement, de l’aménagement et du logement
BRGM : Bureau de recherches géologiques et minières
OVSG-IPGP : Observatoire volcanologique et sismologique de la Guadeloupe – Institut de physique du globe de Paris
SDIS : Service départemental d’incendie et de secours
*Créée en 2014, Sikana est une ONG qui a pour ambition d’aider chacun à améliorer son quotidien grâce à la transmission gratuite de savoir-faire, dans une multitude de disciplines, dont les risques naturels. www.sikana.tv