Les premiers régimes de banane post-Maria sont coupés depuis le début de cette semaine, au sein du groupement « Les producteurs de Guadeloupe ». Cela concerne pour l’instant une vingtaine de planteurs.
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Les premiers régimes coupés sont destinés dans un premier temps au marché local, qui absorbe environ 5 000 cartons par semaine. Le groupement devrait en fournir à peu près un millier cette semaine.
Après leur séjour en mûrisserie, les bananes de Guadeloupe seront donc de nouveau sur les étals à partir de la semaine prochaine.
Depuis le passage de l’ouragan, qui avait détruit 100 % des parcelles en septembre, c’est la Martinique qui alimentait le marché local, mais avec seulement 2 à 3 000 colis par semaine. Quant aux exportations, elles devraient reprendre d’ici la fin mars, lorsque les volumes seront suffisants.
Mais le groupement a prévu d’expédier cette année environ 23 000 tonnes seulement, soit 30 % de son volume habituel, car beaucoup de parcelles sont à replanter, et seront d’abord assainies par une période de jachère de un an à 18 mois. C’est donc seulement en 2020 que la Guadeloupe retrouvera son niveau d’avant Maria, qui était d’environ 75 000 tonnes annuelles.
Après leur séjour en mûrisserie, les bananes de Guadeloupe seront donc de nouveau sur les étals à partir de la semaine prochaine.
Depuis le passage de l’ouragan, qui avait détruit 100 % des parcelles en septembre, c’est la Martinique qui alimentait le marché local, mais avec seulement 2 à 3 000 colis par semaine. Quant aux exportations, elles devraient reprendre d’ici la fin mars, lorsque les volumes seront suffisants.
Mais le groupement a prévu d’expédier cette année environ 23 000 tonnes seulement, soit 30 % de son volume habituel, car beaucoup de parcelles sont à replanter, et seront d’abord assainies par une période de jachère de un an à 18 mois. C’est donc seulement en 2020 que la Guadeloupe retrouvera son niveau d’avant Maria, qui était d’environ 75 000 tonnes annuelles.