Chez nous, la problématique des transports est bien réelle. Carter de "An sav Fè Sa", la nouvelle application de mise en relation de covoiturage et de chauffeur privé sonne comme une promesse de simplifier les déplacements et de chambouler le mode de fonctionnement des Guadeloupéens.
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Alicia La Clef-Hadjar et Yannick Jotham sont des entrepreneurs 2.0. Ces deux jeunes de l'équipe "An sav fè sa" sont à l'origine de Carter, la première application "Made in Guadeloupe" de covoiturage et de mise à disposition de chauffeurs privés.
Après une campagne de financement participatif, une version bêta a été lancée, il y a quelques jours.
Rencontre avec Yannick Jothan co-fondateur de Carter, la start-up à l’assaut de notre île et de nos régions.
Quel est le concept de votre application Carter ?
Carter est la première application de mise en relation des transports privés aux Antilles. Même si ce n’est pas une innovation dans l’Hexagone, ici, elle répond à des problématiques territoriales. On propose des covoiturages et des chauffeurs privés. Le tout, via smartphone ou tablette.
Présentation
Comment vous différenciez-vous de l’application Uber, par exemple ?
On se différencie d’eux, par le concept qui est complètement opposé. Nous mettons les compétences en avant, contrairement à Uber ou AirBnB. Pour eux c’est la productivité qui compte, pas la formation.
C’est donc sur un modèle innovant qu’est basé Carter ?
Oui, nous sommes basés sur la CARTERisation, on se démarque de la Uberisation. Chez nous, l’objectif n’est pas d’exploiter le chauffeur. C’est justement lui qui est au centre du projet, l’humain. On veut apporter plus, changer les modèles et les acquis.
Nous voulons permettre à nos chauffeurs de pouvoir s’offrir de meilleurs voitures, on les aide.
A terme, nous voulons agir sur bien plus que les problèmes de transports. La santé, l’alimentation, les services à la personne.
Vous êtes donc une entreprise d’avenir, voyez-vous plus loin que la Guadeloupe?
Pour l’instant, on a les pieds en Guadeloupe. On est une jeune TPE validée par la Région. Alors, on va tenter de fidéliser des utilisateurs en Guadeloupe. La Caraïbe viendra par la suite. On s’est lancés grâce à un crowfunding, on veut rester dans cet état d’esprit.
Toujours la communauté avant tout.
Il n’y a aucun doute, les applications font désormais parties de notre quotidien.
Après une campagne de financement participatif, une version bêta a été lancée, il y a quelques jours.
Rencontre avec Yannick Jothan co-fondateur de Carter, la start-up à l’assaut de notre île et de nos régions.
Quel est le concept de votre application Carter ?
Carter est la première application de mise en relation des transports privés aux Antilles. Même si ce n’est pas une innovation dans l’Hexagone, ici, elle répond à des problématiques territoriales. On propose des covoiturages et des chauffeurs privés. Le tout, via smartphone ou tablette.
Présentation
Comment vous différenciez-vous de l’application Uber, par exemple ?
On se différencie d’eux, par le concept qui est complètement opposé. Nous mettons les compétences en avant, contrairement à Uber ou AirBnB. Pour eux c’est la productivité qui compte, pas la formation.
C’est donc sur un modèle innovant qu’est basé Carter ?
Oui, nous sommes basés sur la CARTERisation, on se démarque de la Uberisation. Chez nous, l’objectif n’est pas d’exploiter le chauffeur. C’est justement lui qui est au centre du projet, l’humain. On veut apporter plus, changer les modèles et les acquis.
Nous voulons permettre à nos chauffeurs de pouvoir s’offrir de meilleurs voitures, on les aide.
A terme, nous voulons agir sur bien plus que les problèmes de transports. La santé, l’alimentation, les services à la personne.
Vous êtes donc une entreprise d’avenir, voyez-vous plus loin que la Guadeloupe?
Pour l’instant, on a les pieds en Guadeloupe. On est une jeune TPE validée par la Région. Alors, on va tenter de fidéliser des utilisateurs en Guadeloupe. La Caraïbe viendra par la suite. On s’est lancés grâce à un crowfunding, on veut rester dans cet état d’esprit.
Toujours la communauté avant tout.
Il n’y a aucun doute, les applications font désormais parties de notre quotidien.