Installé en début de semaine, le radar tourelle de Deshaies a été incendié, dans la nuit de vendredi à samedi.
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Depuis un peu plus d'une semaine, à l'instar de l'Hexagone, les destructions de radars se multiplient, dans notre département.
Dès leur apparition, ces appareils dernier cri, destinés à lutter contre la mortalité grandissante sur les routes n'ont pas fait l'unanimité.
Régulièrement, des radars sont détruits outre-Atlantique. Et la contestation "active" est en marche en Guadeloupe. Après l'incendie de celui situé à Dalciat, à la limite entre Baie-Mahault et le Lamentin, le 27 novembre dernier, celui de Labrousse, non loin de Bas-du-Fort, au Gosier, a lui aussi été victime du feu.
Dernier en date, celui de Deshaies, installé en début de semaine. Après trois jours de plein exercice, le radar tourelle a été incendié.
Si les auteurs de ces dégradations volontaires n'ont pas été identifiés par les forces de l'ordre, plusieurs enquêtes ont été ouvertes. Des investigations en cours qui, pour le moment, n'ont pas abouti, selon le procureur de la République de Pointe-à-Pitre, Patrick Desjardins.
Pour autant, les radars continuent de "pousser" sur les routes guadeloupéennes. Egalement cette semaine, c'est au Morne Caruel, aux Abymes qu'un nouveau a été érigé.
Pour rappel, toute personne se rendant coupable de "dégradation volontaire par incendie", aggravée, d'un radar, bien public, risque 10 ans d'emprisonnement et 150.000 euros d'amende.
Dès leur apparition, ces appareils dernier cri, destinés à lutter contre la mortalité grandissante sur les routes n'ont pas fait l'unanimité.
Régulièrement, des radars sont détruits outre-Atlantique. Et la contestation "active" est en marche en Guadeloupe. Après l'incendie de celui situé à Dalciat, à la limite entre Baie-Mahault et le Lamentin, le 27 novembre dernier, celui de Labrousse, non loin de Bas-du-Fort, au Gosier, a lui aussi été victime du feu.
Dernier en date, celui de Deshaies, installé en début de semaine. Après trois jours de plein exercice, le radar tourelle a été incendié.
Si les auteurs de ces dégradations volontaires n'ont pas été identifiés par les forces de l'ordre, plusieurs enquêtes ont été ouvertes. Des investigations en cours qui, pour le moment, n'ont pas abouti, selon le procureur de la République de Pointe-à-Pitre, Patrick Desjardins.
Pour autant, les radars continuent de "pousser" sur les routes guadeloupéennes. Egalement cette semaine, c'est au Morne Caruel, aux Abymes qu'un nouveau a été érigé.
Pour rappel, toute personne se rendant coupable de "dégradation volontaire par incendie", aggravée, d'un radar, bien public, risque 10 ans d'emprisonnement et 150.000 euros d'amende.