Le cyclotron pourrait très rapidement être saturé en terme de capacité de traitement. Et c’est la durée de l’examen qui pourrait être a l’origine de cette saturation. Le centre d’imagerie médicale devrait traiter prés de 2000 malades dès la premier année d’activité
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Obtenu de haute lutte, l’arrivée du cyclotron est une véritable bouffée d’oxygène pour le département en matière d’imagerie médicale dernière génération. Il devrait accueillir des patients locaux mais aussi venus de la Caraïbes, ce qui pourrait entraîner rapidement une saturation en terme de traitement.
En effet, 1700 nouveaux cas de cancer sont chaque année recensés en Guadeloupe. Un chiffre qui devrait être à peu près similaire en Martinique, et, en attendant l'ouverture du cyclotron de la Martinique, les patients de l'île soeur viendront eux aussi en Guadeloupe pour effectuer de tels examens.
Le CIMGUA doit donc se préparer, au début en tout cas, à accueillir près de 3 400 patients potentiels auxquels viendraient s’ajouter les malades de îles environnantes.
En effet, 1700 nouveaux cas de cancer sont chaque année recensés en Guadeloupe. Un chiffre qui devrait être à peu près similaire en Martinique, et, en attendant l'ouverture du cyclotron de la Martinique, les patients de l'île soeur viendront eux aussi en Guadeloupe pour effectuer de tels examens.
Le CIMGUA doit donc se préparer, au début en tout cas, à accueillir près de 3 400 patients potentiels auxquels viendraient s’ajouter les malades de îles environnantes.
Jean-Paul FISCHER, le directeur général de la Sem patrimonial
Jean-Paul FISCHER, le directeur général de la Sem patrimonial